| | MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell | |
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Mattéo Donovan ► RUNNING UP THAT HILL.
messages : 50 date d'inscription : 06/02/2012 pseudo : marissa./estelle avatar : hayden christensen copyright : (c) marley smith
| Sujet: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 13:52 | |
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Mattéo Elijah Ioann Rowley-Donovan ❝ that’s all we are, just stories. we only exist by how people remember us, by the stories we make of our lives. without the stories, we’d just fade away. ❞NOM: Rowley, est le nom officiel qui est écrit sur mon extrait de naissance mais depuis mes quinze ans, j'ai préféré le changer pour Donovan. Nouveau départ, nouvelle vie. Il n'y a aucune raison particulière, je me suis mis à regarder sur internet les possibles noms qui pourraient coller à ma tête et Donovan était resté en tête de la liste que j'avais effectué ; aussi simple et bête que ça. PRÉNOM: Mattéo, ma mère est très attaché à ses origines italiennes et le mien a toujours été son favoris. Je ne m'en plein pas, pour un prénom italien, j'ai connu pire. Et puis, c'est le prénom de mon grand-père, respect un peu. ÂGE: Trente ans, trente ans.. Trente ans ? Déjà, le temps passe à une vitesse folle et mon âge est complètement fou. Je n'assume pas d'avoir trente ans, j'ai même fait une crise de la trentaine, dur je sais. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 22 décembre, date de l'hiver, trois jours avant noël.. Timming parfait. MÉTIER/ÉTUDES: On est vraiment obligé de répondre à ça ? Bon d'accord, j'aimais bien l'époque où j'étais arnaqueur mais celle-ci étant révolue et certainement trop classe pour moi, je suis officiellement mascotte dans un fast food. Le mec qui se dandine en hamburger sur des patins à roulette, c'est moi. Pour arrondir les fins de mois, je donne également des cours de danse de salons en soirée, le don de la danse m'a été transmis par mon père et disons que ce serait stupide de gâcher ça ; surtout quand on a pas une tune en poche & qu'on a trente ans. STATUT: en couple avec le célibat et le désespoir, un combo parfait n'es-ce pas. TRAITS DE CARACTÈRE: arrogant ₪ fier ₪ déteste la bêtise humaine ₪ moqueur ₪ cynique ₪ profiteur ₪ peu se montrer d'une gentillesse inouïe avec ceux qu'il aime ₪ drôle ₪ fumeur ₪ sans un sou sur lui la plupart du temps ₪ nostalgique ₪ méfiant ₪ mystérieux ₪ joueur ₪ machiavélique ₪ intelligent ₪ protecteur ₪ câlin ₪ très bon menteur ₪ surprotecteur ₪ GROUPE: first floor. don't be afraid of tomorrow 001 ► Mattéo ne parle jamais de son passé, quelques rares personnes en connaissent le contenu, c'est un sujet sensible dont il fait bon ne pas en parler. 002 ► Le critiquer serait une erreur stupide car c'est bien la dernière chose qu'il supporte, il part tout le temps au quart de tour et n'hésite pas a sortir ses poings. 003 ► L’hôpital ça le connait aussi, il s'est déjà fait casser le nez, trois fois et rien que ça. 004 ► Il s'est fait un tatouage dans son dos par pure folie, néanmoins il est symbolique pour lui car il annonçait le départ pour une nouvelle vie. 005 ► Récemment il était arnaqueur, attirer les femmes riches en les séduisants pour les liquider, c'était son job. 006 ► Il n'avait jamais été aussi riche qu'en faisant ce boulot, il a aimé le confort que ça lui a apporter étant pauvre dans le passé. 007 ► Maintenant il est retourné à la case départ avec pas un seul sous dans ses poches, arnaqueur/anacoeur, c'est fini. 008 ► Il a été fiancé avec une femme de trois ans son aîné et était de mèche avec elle dans ses affaires d'arnaque. Elle est partie du jour au lendemain en lui prenant tout son argent. 009 ► Si ça s'est aussi mal passé c'est à cause de Nanon, une des filles qu'il a essayé de profiter et dont il est tombé éperdument amoureux. Nanon fut une bonne affaire car avec elle, ils ont gagné plus de cent mille dollars au casino sans jamais se faire prendre. 010 ► Il a tout gâché avec elle et depuis qu'elle l'a quitté, il ne cesse de penser à elle, jour et nuit. 011 ► Il s'était éloigné de Brooklyn pendant deux ans et fait son grand retour, prêt à tout pour reconquérir sa belle. Il habite d'ailleurs dans le même immeuble que cette dernière. 012 ► Le vol, l'arnaque, s'en est fini pour lui. Il arrête définitivement de se mettre dans des galères pas possible. 013 ► Lorsque sa mère l'a abandonné, ce dernier à changer de nom, Rowley est son vrai nom. 014 ► Il ne s'est jamais remis de la mort de sa petite soeur et de son passé en général, il fait toujours des cauchemars à propos de cela. 015 ► La solitude le pèse. 016 ► Il fume comme un pompier et pourtant, il déteste la cigarette. 017 ► Il est sombre, mystérieux et taciturne mais il sait se faire apprécier grâce à son caractère particulier. 018 ► Il aime faire des imitations et sait même magner les marionnettes. 019 ► Il a toujours rêvé de faire des études de médecines, même si la vie ne lui a pas fait de cadeau de côté là. 020 ► Il déteste son job mais il n'a pas le droit d'être exigeant même si je vous l'accorde, déambuler en hamburger sur des patins en roulette ça n'a rien de très glorieux à trente ans.
romance your ego for a while - Citation :
❝ Life is too short for so much sorrow ❞ “chaque personne que l'on s'autorise à aimer est quelqu'un que l'on prend le risque de perdre.” 20:00 ; boutique de quartier, brooklyn ► fix you - coldplay ❝ Vingt-heures annonçais la pendule qui était accrochée dans la minuscule boutique où nous nous trouvions. Une boutique de quartier comme beaucoup on en croisait dans Brooklyn, on y trouvait principalement des articles indispensable et bon marché. Ce soir-là nous étions seulement tous les trois, moi, Fleur et papa. Maman travaillait encore tard et nous n'avions plus rien à nous mettre sous la dent. Il était rare que papa nous emmènent ici à une heure aussi tardive avec lui mais il n'avait pas le choix, nous laisser tous seuls lui aurait causé trop de soucis. A peine nous étions rentré dans le magasin que je pris la main de ma petite soeur. Nous étions partit en courant vers le rayon confiserie, notre rayon favoris où nous savions que nous n'aurions aucun de ces délicieux bonbons. Nos regards pétillaient, il s’agissait seulement de sucreries mais quand on était habitué à n'avoir que très peu de chose même une boite de conserve pourrait nous faire envie. Papa quand à lui faisait ses courses seuls tout en nous surveillant du coin de l'oeil même s'il savait très bien que Fleur ne craignait rien en ma compagnie. C'était l'instinct paternel que voulez-vous. Tout d'un coup des hommes firent irruption dans le magasin, ils avaient une sorte de cagoule où on ne voyait pas les traits de leurs visages, habillé de noir avec des armes à la mains qui n'avaient pas l'air d'être ceux avec lequel je jouais. Je n'avais pas confiance en eux et en même temps, je n'avais pas quoi en penser. Sept ans, je n'avais que sept ans. J'observais la scène à travers le rayon, un des hommes pointa son arme sur la tempe de mon père qui était sur le point de régler ses courses. Un coup de feu se fit retentir dans le magasin afin de faire peur aux personnes présente. Mon coeur eut un raté, je pris alors ma soeur dans mes bras mettant une main sur sa bouche et j'essayais de nous cacher afin qu'ils ne viennent pas nous chercher. Je savais que quelque chose de pas net se produisait et que quoi qu'il arrive, il fallait que je protège ma petite soeur. « donne-nous ton fric ! Donnez-nous tout ce que vous possédez ! » tout le monde s'exécutait, l'homme derrière sa caisse la vidait sans même y réfléchir à deux fois, la dame qui se trouvait non loin leur donna ses bijoux, son porte-feuille et mon père seulement son portefeuille. « jolie montre, met-là dans le sac. » « Non. » « ta pas compris ou faut que je te le dise d'une autre manière ? » dit-il tout en donnant une légère pression sur la gâchette, « met ta montre dans le sac ! » « Non ! » Lights will guide you home and ignite your bones, and I will try... to fix you. Avant même de pouvoir de reprendre mon souffle, un bruit retentissait à travers toute la boutique mêlé par la suite avec le cri unisson du caissier et de la dame qui se tenait juste à côté. Mon père s’effondra sur le sol tâchant le sol de son propre sang. Je retenais de toute mes forces ma petite soeur gardant ma main contre sa bouche, ses larmes coulaient sur mes mains et moi-même je ne pouvais contenir les miennes. Je ne réalisais pas ce qui se produisait, je savais que plus jamais je l'entendrait me donner des conseils ou encore me sermonner, plus jamais il n'essayerait d'enlever les roulettes sur le vélo de Fleur ou encore lui soigner ses blessures et plus jamais il ne serait là pour nous. 11:00 ; cimetière, brooklyn ► hallelujah - imogen heap Je tenais fortement sa petite main, sa toute petite main. Elle était trop petite pour avoir vécue des choses comme celle-là. Il faisait un froid glaciale et la neige tombait encore sur nous. Un hiver qui n'était pas comme tous les autres, je ne courrais pas après cette petite fille, nous faisions pas de bonhomme de neige et je ne la serrais pas fort contre-moi, pour la réchauffé malgré qu'elle soit juste à côté de la cheminée. Non, nous étions dans un endroit où il était visiblement trop tôt pour nous d'y mettre les pieds. Nous ne devrions pas être ici et vivre cet instant difficile où nous entendions maman pleurer de tout son être qui resterait pour toujours inconsolable. Malgré tout, une chose ne changeait pas, nous étions ensemble. Affrontant chaque étape difficile de nos vies, main dans la main, et liés à tous jamais dans la joie comme dans la peine jusqu'à ce que la mort nous sépare. but love is not some victory march, it´s a cold and it's a broken hallelujah... Je revoyais encore cette scène dans mes yeux, j'espérais de tout mon coeur que Fleur l'oublie. J'étais sur qu'un jour elle me demanderais comment il est décédé, qu'elle me demanderais de tout lui raconter. Il était mort pour une montre mais n'importe qu'elle montre, c'était celle que maman lui avait offert. Un objet auquel il tenait beaucoup et on peut le dire, il est mort par amour laissant derrière lui deux enfants qui n'aurons jamais la chance de le connaitre d'avantage. C'était à partir de ce moment que ma vie avait pris un tournant. Je me passionnais pour la neurochirurgie et surtout je me promettais de protéger ma famille. J'étais le seul homme de la maison désormais, un rôle que j'ai du endosser précocement. Nous devions maintenant nous avancer chacun notre tour devant le cercueil avec Fleur on était les derniers à passer, les derniers à lui dire au revoir. Nous avancions doucement laissant derrière nous des traces de nos pas dans la neige, une fois arrivé au cercueil mon coeur s'était noué dans tous les sens du terme et je serrais fort contre moi, ma petite soeur effondré qui était venue se blottir dans mes bras. Elle tenait une rose rouge dans ses mains, une rose comme il était rare d'en voir d'aussi belle. Fleur avait passé une bonne heure à la choisir, elle voulait qu'elle soit parfaite et il n'était pas question qu'il en soit autrement. Je revoyais en elle, le caractère tout craché de notre père. J'étais sur qu'il serait toujours présent parmi nous parce qu'au fond il vivrait toujours à travers nous. 22:30 ; hôpital, new-york ► open your eyes - snow patrol « Mattéo, ça va aller. » sa voix était faible, ses yeux s'ouvraient à peine et malgré ça, elle semblait être paisible. « Non, non, ça ne va pas aller. Qu'es-ce que je vais devenir sans toi ? » je n'arrivais même plus à la regarder, elle était encore bien trop jeune pour vivre ce genre de chose. Le décès de notre père, le remariage de notre mère avec cette saleté d'ivrogne et maintenant cette maladie qui venait tout gâcher, une nouvelle fois. « La même personne mais sans moi, tu vas t'en sortir Mattéo. » sa voix me brisais le coeur, elle avait traversé tellement d'épreuve et elle était si jeune. Je replaça une de ses mèches qui était sur son visage et essayait d'être aussi fort qu'elle l'était en ce moment même. Ses jours, ses heures, ses minutes et ses secondes étaient comptés, la machine pouvait s'arrêter à n'importe qu'elle moment et je tenais à ce qu'elle ne soit pas seule. Depuis maintenant deux bons mois, je vivais jours et nuits à l'hôpital. Notre mère se démenait pour payer ses frais médicaux et être en concubinage avec cet homme que je haïssais plus que tout faisait partit du lot. Sans lui, Fleur serait certainement partie de ce monde depuis un bon moment, c'était dur d'accepter que présence était autant importante pour notre famille. J'étais persuadé que ses sentiments à mon égard étaient réciproque. « Tu peux venir une petite seconde ? » mes yeux étaient rivé sur la petite blonde, elle s'était assoupie. « Une seconde alors, pas une de plus. » dis-je tout en me relevant de mon siège qui me servais les trois quart du temps de lit et me dirigeai vers cet homme grand qui en impressionnerait plus d'un. « Alors voilà mon p'tit, je sais qu'en ce moment c'est difficile pour toi ainsi que pour ta mère mais je compte lui demander en mariage quand.. tout sera terminé. » « Vous ne remplacerez jamais, mon père. » « Je ne te demande pas ta bénédiction, je voulais juste te mettre au courant. » je l'observais avec un air de dégoût, il avait ces horribles tatouages sur le bras qui nous rappelais qu'il avait été en prison pour une raison qui m'est encore inconnue et cette barbe à moitié jaune qui avait le don de vous piquer tout le visage lorsque l'on s'approchait de trop près. Tout d'un coup tout le monde s'affolait, un bruit sourd retentissait, je suivis alors l'horde de médecins des yeux... Fleur, il s'agissait de Fleur. « LÂCHE MOI, LÂCHE MOIIII ! » Ce qui me servais de beau-père me retint d'aller rejoindre sa chambre, j'hurlais de toutes mes forces, pas encore une fois, pas encore une fois... Tell me that you'll open your eyes, tell me that you'll open your eyes, get up, get out, get away from these liars, 'cause they don't get your soul or your fire, take my hand, knot your fingers through mine and we'll walk from this dark room for the last time. Il n'avait pas le droit de me la prendre, pas elle. J'étais brisé, cassé, anéantit. Ils essayaient de la réanimé mais je savais d'avance que s'en était fini. Elle m'avais clairement dit qu'elle ne tenterait pas de se battre, elle m'avais clairement fait comprendre qu'elle en avait marre de devoir s'en cesse se battre. Le plus malheureux dans tout cela, c'est que je n'avais pas tenue ma promesse ; à cause de lui, elle était partie seule. 9:27 ; appartement des rowley-shepperd, brooklyn ► damien rice - 9 crimes « Mattéo, il faut que tu sortes de là. » dit-elle tout en tirant mes rideaux, les rayons du soleil m'aveuglaient mais il m'étais impossible de pouvoir bouger le moindre de mes membres. J'étais allongé dans mon lit, si ma mère n'était pas venue vérifier cinq minutes auparavant que je respirais encore, elle m'aurais surement cru mort. J'avais totalement perdu le goût à la vie, perdu ma raison d'avancer et surtout, de vivre. Depuis qu'elle était partie, je restais des journées entières à observer le cadre photo qui était posé sur ma table de chevet. Une photo du plus beau jour de ma vie, une photo du moment où étions tous heureux et quand je disais tous, je parlais de ma famille. Fleur souriait à pleine dents, elle était la plus belle des petites fille, la plus innocente et certainement la plus gentille qui sois ; elle ne méritait pas d'avoir vécue tout ça. « J'arrive. » c'était le seul mot que je lui avait sortit en deux mois, pour elle c'était une semi victoire. « D'accord. » je n'avais pas pris la peine de bouger mon regard pour l'observer parce que j'étais certains qu'elle portait des bleus. On ne change pas notre vrai nature et apparemment gérer ses émotions est plus difficile pour certaines personnes. Mon beau-père par exemple avait été emprisonné il y a quelques années pour avoir battu sa femme et ses enfants. Forcément, le décès de ma petite soeur lui avait provoqué un certain dysfonctionnement et avait fait ressortir ses mauvais côtés. Ma mère était prête à tout affronter, elle savait qu'il l'aimait et s'il faisait ça, c'était uniquement à cause de sa dépendance à l'alcool. De mon côté, je continuais à le haïr de toutes mes forces pour m'avoir arraché de mes derniers moments avec Fleur, c'était entièrement sa faute. Pour l'amour que je portais à ma mère, j'avais du assister à leur mariage et maintenant à leur ménage qui était plus que désastreux. J'en avais marre de cette vie, je n'en pouvais plus de vivre ainsi. Je me leva alors de mon lit et enfila une veste. Je ne savais pas ce que j'allais faire mais ma première idée fut d'aller sur le toit. Lorsque nous jouions à cache cache dans l'immeuble, Fleur se cachait toujours sur le toit. Je sortis de l'appartement, pris les escaliers et marcha jusqu'au bord de l'immeuble. J'étais au bord et pendant une seconde, je m'imaginais tombant de ce stupide toit. Je n'avais pas peur de la mort, je n'avais pas peur de mourir. « Fais pas le con, Mattéo. » je reconnaissais cette voix. « Dégage et laisse-moi crever. » « Ta mère à besoin de toi. » « A quoi bon rester en vie quand on en a une aussi dégueulasse que la mienne. » je n'avais pas d'amis, je n'avais pas non plus de petite amie, rien sur quoi m'accrocher. Je tenais à ma mère mais j'ai tellement été déçu par elle que j'en oubliais toute mon affection que je lui portais. Pour moi, j'étais seul au monde, si je sautais, je ne ferais du mal à personne. « Et non, elle n'a pas besoin de moi mais de toi, crétin. C'est pour ça qu'elle reste avec toi, maintenant laisse moi mourir. » depuis le décès de Fleur, je ne lui avais attiré que des ennuis. J'avais braqué une voiture et m'étais retrouvé en prison, j'avais été mêlé à des trafiques de drogues et des bagarres en tout genre. Mais depuis quelques mois après m'être fait arrêté une ultime fois, je m'étais enfermé dans ma chambre car j'avais honte, honte de ce que j'étais devenu. « D'accord, je m'en vais. » Leave me out with the waste, this is not what I do, it's the wrong kind of place, to be thinking of you, it's the wrong time for somebody new, it's a small crime and I've got no excuse J'étais sur le point de sauter, fermant mes yeux et me laissant tombé vers le vide, j'étais prêt à affronter la mort en face mais avant même de pouvoir retenir mon souffle, ce dernier me retint par mon sweat et me balança sur le toit. « T'a tout gagné mon p'tit. » 17:30 ; hôpital psychiatrique, brooklyn ► run - leona lewis « Bonjours, Mattéo. » quatre-vingt dixième jours de captivité dans cette minuscule pièce, attaché à ce miteux lit. Je ne bougeais pas me contentant de fixer le plafond, j'aurais préféré être mort. Je n'attendais même plus à ce que ma mère vienne me chercher, c'était la deuxième et je le sentait dernière fois qu'elle venait me rendre visite. « Je sais que tu ne veux pas me parler, alors je vais essayer d'être brève. » j'avais l'impression que tout s'était arrangé pour elle, c'est vrai qu'au fond ce tolard n'avait pas l'air d'être un si mauvais type. Il l'avait battu mais c'était ses pulsions, depuis il se soignait apparemment. Il était venu une ou deux fois me rendre visite, je lui devait la vie et pourtant je lui en voulait encore une fois ; comme si avec moi il faisait tout de travers. « Tu vas pouvoir enfin sortir d'ici, au vue de tes progrès, j'ai décidé de signer le formulaire. » elle s'était approché de moi afin de serrer ma main et d'enregistrer chacun de mes traits une dernière fois. Elle essayait de contenir ses larmes, elle avait été forte pendant toutes ces années, Fleur tenait de sa force mais là, c'était devenu insoutenable pour elle. Je ne savais pas ce qui m'attendais, j'avais peur, cela faisait un bon moment que je n'avais pas ressentit ça mais j'avais peur. louder louder and we'll run for our lives , I can hardly speak I understand why you can't raise your voice to say « Mais tu ne rentreras pas à la maison, je suis désolé. » je tombais de haut, comment pouvait-elle m’abandonner ? « Maman...» « Je suis désolé mon coeur, je n'ais plus la force. Je pensais pouvoir tout affronter mais, il est évidant que tu n'es pas heureux avec moi et qu'avec tout ce qui s'est passé tu ne le sera plus jamais. Alors je t'est mis un peu d'argent dans tes affaires et tu prendras n'importe quel train ou tu resteras, peut importe. Avec tu sais qui, on a décidé de partir de Brooklyn. » « Ne m'abandonne pas je t'en supplie, ne m'abandonne pas. » j'étais capable de tout faire pour qu'elle me reprenne je n'était pas prêt pour ça, je n'étais pas prêt. Je m'en voulais tellement de lui avoir fait enduré toutes ces choses, d'avoir été infecte, je m'en voulais. « Je t'aime, Mattéo. Adieu. » Une de ses larmes était tombé sur mon visage puis elle déposa un léger baiser sur mon front avant de s'en aller sans se retourner. Je bougeais, j'essayais de toutes mes forces de m'échapper de ce lit pour la rattraper mais c'était peine perdu. « Ne fais pas ça... Ne fais pas ça. » j'étais épuisé et par la même occasion mettais fait à la raison, qu'elle ne reviendrait pas. ~ ~ ~
Dernière édition par Mattéo Donovan le Mer 8 Fév - 16:14, édité 25 fois | |
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| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 13:53 | |
| - Citation :
❝ i wouldn't have done it any differently ❞ “ don't know why i'm still afraid, if you weren't real, i would make you up. ” ► honey and the moon - joseph arthur ❝« C'est qui la fille ? » j'étais en train de me préparer à faire chavirer le coeur d'une fille qui me rapporterais beaucoup d'argent, tel était mon métier. « Nanon Proust, 1m73, extrêmement intelligente malgré sa chevelure blonde. Son QI est supérieur à normale et tu sais ce que ça veut dire ? » dit-elle tout en me tendant sa photo et le dossier joint avec. « Qu'elle m’intéresse. » Cette fille m'intriguais et il faut dire qu'elle n'était pas déplaisante à regarder. J'étais certains que nous étions sur un gros coup et qu'il ne fallait pas que je passe à côté. « Fait attention à toi, Donovan. » « Je t'en pris, c'est pas ma première fois. » J'étais sur de moi, sur de pouvoir lui briser le coeur en partant du jour au lendemain sans même me retourner. Balivernes. Je partis alors en direction du supermarché, prêt à mettre mon plan en action. Je marchais dans les allées tout en cherchant ma proie des yeux. Elle faisait toujours ses courses à la même heure, le même jour ; j'avais étudié son dossier de A à Z. Alors que j'étais concentré à regarder sur ma droite, je ne fis pas attention à ce qui arrivait sur ma gauche et c'est ainsi que je bouscula quelqu'un. « Excusez-moi, je suis désolé. » dit-elle tout en ramassant paniqué ses articles. « Non, non c'est moi. » lorsque je releva mes yeux pour voir qui était cette fameuse étrangère que j'avais accidentellement bousculé, le karma était de mon côté. Nanon Proust, en chair et en os. Je ne pouvais pas tomber mieux et c'est avec un grand sourire que je me mis à ramasser ses affaires. « Et voilà, le dernier. Au fait, je m'appelle Donovan. Enfin je veux dire, Mattéo, moi c'est Mattéo. » « Enchanté, Mattéo. » elle ne s'était pas présenté, ce qui laissait une part de mystère et j'aimais ça. Je connaissais toute sa vie et pourtant elle m'intriguais. Elle était encore plus belle en vrai et son sourire était vraiment magnifique. Nanon n'était pas comme toute mes autres proies, non, elle avait quelque chose de spéciale en plus. Pendant longtemps, j'ai cherché une fille dans sa catégorie d'intelligence comme la sienne, j'étais certains que si j'arrivais à mes fins que nous allions gagner le jackpot. Plus les jours avançaient et plus on se côtoyaient. J'oubliais ma mission parfois rien qu'en m'éternisant sur son visage, elle avait réellement un visage que l'on ne pouvait remarquer et qui était différent des autres. Elle était belle, je dirais même plus magnifique. J'avais bien du mal à détacher mes yeux des siens, en sa présence je me sentais différent. Elle avait vraiment quelque chose de différent de toute les autres filles que j'arnaquais sans aucun remord. On se voyait beaucoup trop à mon goût et pourtant, j'étais incapable d'annuler le moindre de nos rendez-vous. Je succombais à son charme et j'en redemandais encore. « T'est certains de pouvoir le faire ? » « Je ne continuerais pas si j'étais pas certains d'aller jusqu'au bout. » dis-je en avalant ma dernière gorgé de scotch avant de retrouver Nanon. Elle me coupais le souffle comme à chaque fois, nous avions décidé d'un commun accord de dévaliser le Casino par des moyens peu conventionnelles. Nous n'allions pas enfiler une paire de collant sur nos têtes et menacer la source du Casino de nous donner toute sa caisse avec des flingues, non nous allions user du don particulier de Nanon pour manipuler les chiffres. « Prête ? » « Prête. » dit-elle d'un ton déterminé avant de se mettre en action. Cette nuit-là nous avions tout rafler, il était rare que des personnes gagnent autant et pourtant, personne n'avait l'air d'avoir compris ce qui s'était passé. Sur le moment en voyant Nanon aussi heureuse d'avoir remporté la mise, je me sentis bizarre à la fois heureux et déconcerté. Des sentiments commençant à naître pour la blondie ? Sans doute à force d'essayer de ne pas tomber amoureux d'elle, j'étais carrément devenu raide dingue de cette fille. Je me sentais si bien en sa compagnie, c'était comme si tous mes soucis s'était envolé. Une vrai bouffé d'air frais, sans prise de tête. Alors me poser la question de si j'étais amoureux d'elle ou pas, n'en était même plus une de question. Un peu plus tôt dans la journée, elle m'avais dit qu'elle m'aimais et j'étais certains que notre relation durerais encore un paquet de temps. « T'est vraiment doué, Donovan, continue ainsi. » je raccrochais alors mon téléphone allant rejoindre une nouvelle fois ma dulcinée. Je savais qu'à tout moment, ma fiancée avait le pouvoir de tout foutre en l'air, c'est pourquoi je profitais de chaque instant passé en la compagnie de Nanon. Il m'arrivais même parfois de la regarder dormir bêtement comme ça, au beau milieu de la nuit. Jamais, au grand jamais j'avais ressentis quelque chose d'aussi fort à l'égard de quelqu'un. J'avais traversé tellement de périodes difficiles, la dernière chose que j'avais envie de gâché dans mon existence était bien la relation que j'entretenais avec Nanon. Il n'avait jamais fait bon de mêler business et amour, nous en étions la preuve. « Mattéo ? » Je traversa la pièce avant de rejoindre la salle de bain, elle était toute décoiffé avec une trace de dentifrice sur la joue. Je ne pus m'empêcher d'esquisser un sourire puis je m'approcha d'elle et passa mon doigt afin d'enlever cette trace. Mes yeux croisèrent les siens pendant plusieurs secondes et comme toujours mon coeur battait la chamade. « Tu es magnifique, Nanon Proust. » c'est ainsi que je fini par l'embrasser à pleine bouche, notre relation était passionné même dans des situations comme celles-là. Après cette nuit passé au casino, il y en eu d'autres et comme toujours nous avions gagnés. Je nous définissait un peu comme des Bonnie and Clyde. Notre duo fonctionnait vraiment, ce qui à force n'était plus du goût de tout le monde. « Tu sais qu'un jour, il va falloir que tu la quitte. » « Je le sais. » « Ne t'accroche pas à elle. » nous nous regardions, yeux dans les yeux jusqu'à ce qu'elle dise ça. Erreur fatale. Je baissa du regard, il était déjà trop tard même elle, l'avait remarqué. « Je ferais ce qu'il faut. » « Très bien, parce que sinon, c'est moi qui le ferais à ta place. » le travail, toujours le travail. Elle savait qu'elle me perdais, elle savait que plus les jours avançaient et plus je m'éloignais. Elle avait peur et c'était compréhensible mais maintenant pour moi, il n'était plus question d'argent. C'est là où le problème se posait entre nous, parce qu'il avait toujours été question d'argent. On passait du bon temps ensemble, je lui avait même demandé en mariage pour qu'on puisse continuer de vivre d'argent, d'argent et d'eau fraîche parce qu'il n'avait jamais été question d'amour. C'est une femme puissante avec un caractère bien trempé, je savais aussi qu'en me tournant le dos à elle, je risquais gros. « J'ai repéré plusieurs local la semaine dernière, on pourrait aller les visiter à la fin de la semaine ? » « T'est sérieux ? » ses yeux pétillaient, comme si je venais de lui annoncer une très bonne nouvelle, ce qui était le cas. « On ne peut plus sérieux, ce soir on va encore remporter gros et je ne vois pas pourquoi on attendrais plus longtemps pour réaliser ton rêve. » elle me sauta dans les bras, c'était l'un des plus grand rêve de Nanon et j'avais envie de le réaliser quoi qu'il arrive. Je voulais qu'elle ait son propre local, elle avait tellement de talent que c'était le gâcher en n'exposant pas ses merveilles. Cette nuit-là tout bascula d'un coup justement. Nous nous apprêtions à rentrer chez Nanon lorsqu'elle fit son apparition ; Megan, ma fiancé perché sur ses hauts talons de 15 cm. Je savais qu'il en était définitivement fini pour moi, pour nous. « T'es qu'un beau salaud. J'espère que tu crèveras seul comme un chien. Tu ne mérites que ça. » Depuis ce soir-là, je n'avais que cette phrase en tête qui ne cessais de tournoyer dans tous les sens. Nous avions quitté Brooklyn avec Megan et pourtant je ne me sentais pas mieux. Après tout, ça devait arrivé mais j'aurais préféré que ça se fasse autrement. Comme toujours, elle avait été sèche et brutale, comme moi je l'aurais été s'il ne s'agissait pas de Nanon. On allait de ville en ville, d'hôtel en hôtel et toutes les nuits, je n'arrêtais pas de penser à elle. Je n'avais plus le même goût à séduire ces femmes pour leurs argents, encore une fois, je perdais le goût à la vie. « Tu penses encore à elle ? » dit-elle tout en observant la photo de Nanon qui se trouvait dans mon porte-feuille. « Non, c'était une affaire comme une autre, tu le sais bien. » Elle se doutait que nos fiançailles n'iraient pas plus loin. Nous n'étions plus sur la même longueur d'onde qu'auparavant et question business, je lui était inutile. Néanmoins, je savais qu'elle avait besoin de moi, quel autre crétin stupide voudrait joué l'arnaqueur et surtout l'arnacoeur ? Lorsqu'elle m'a trouvé j'étais perdu, seul et sans un sous, mais mon physique avait du potentielle. J'étais donc dépendant de personne, ne possédant même pas de famille à proprement dit et vulnérable. J'étais conscient que je lui devait tout mais Nanon restait encore présente partout dans mon esprit. Je n'arrivais pas à l'oublier, pourtant j'essayais parce que j'avais mis un sacré gros bordel dans sa vie, il fallait le mentionner. Je voulais l'oublier afin qu'elle n'ait plus jamais avoir affaire à moi, sauf que cette fille n'était pas le genre de personne que l'on oublie comme ça, en tournant une stupide page. Non, c'était ce genre de fille où vous avez envie de finir jusqu'à ce que la mort vous sépare. C'est ainsi que du jour où lendemain, ma fiancée avait foutu le camps avec tout mon argent sans même m'en toucher deux mots. no love, no glory, no happy ending. Je ne réalisais pas sur le moment que j'étais repartis à la case départ, comme au monopoly. Elle avait même liquidité mon compte où j'avais placé l'argent que nous avions gagnés avec Nanon. Je touchais réellement le fond et n'avais plus rien sur quoi m'accrocher. Je faisais des jobs par-ci et là, je restant jamais dans un endroit fixe. Le plus dur, c'était l'hiver et parfois il m'arrivais de dormir dehors quand il faisait des température bien inférieur à celles annoncés. Se battre pour survivre, l'histoire de ma vie. « Bonjours, j'aimerais loué un appartement dans votre immeuble. » Un jour, je pris les choses en main et je repartis à Brooklyn, comme ça sur le tas. Il fallait être idiot pour ne pas comprendre que depuis que j'avais bousculé Nanon dans ce supermarché, nos vies étaient liés et que sans elle, je n'étais rien. Aucune fille n'arrivait à sa cheville et je ne faisais pas non plus d'effort pour la remplacer. J'étais déterminé à la récupérer et surtout à me faire pardonner. Je voulais qu'elle sache qu'elle n'était pas une affaire comme une autre que j'avais dû à traité et que j'étais fou amoureux d'elle. Pour ça, j'avais trouvé un boulot dans un fast food de Brooklyn afin de payer mon loyer. J'étais vraiment capable de tout pour la récupérer même danser en hamburger sur des patins à roulette ne me faisait pas peur. Mon appartement d'ailleurs se trouvais dans le même immeuble que celui de Nanon, un choix judicieux pour refaire partie de sa vie et il faut dire que j'allais y mettre les pieds dedans.
- in real life:
PRÉNOM/PSEUDO: WOODEN HEART/ESTELLE. (ou couramment MARISSA.) ÂGE: 18 ANS. CÉLÉBRITÉ: HAYDEN CHRISTENSEN. DÉDICACE: CASSE-DEDI A NANON POUR SON SUPERBE SCENARIO .
Dernière édition par Mattéo Donovan le Mer 8 Fév - 15:05, édité 21 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 13:57 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 13:58 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 14:03 | |
| Super choix de scénario Et hayden est à tomber! Bienvenueeeee | |
| | | Mattéo Donovan ► RUNNING UP THAT HILL.
messages : 50 date d'inscription : 06/02/2012 pseudo : marissa./estelle avatar : hayden christensen copyright : (c) marley smith
| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 14:18 | |
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| | | Jules Fawkes I FEEL HOMELESS Somewhere along the way.
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| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 14:21 | |
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| | | Mattéo Donovan ► RUNNING UP THAT HILL.
messages : 50 date d'inscription : 06/02/2012 pseudo : marissa./estelle avatar : hayden christensen copyright : (c) marley smith
| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 14:45 | |
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| | | Elias Charleston I'M JUST HAVING AN ALLERGIC REACTION TO THE UNIVERSE
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| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 14:56 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 15:01 | |
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| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 16:23 | |
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| | | Jane S. Doe
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| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 16:29 | |
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| | | Arthur Carmichael
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| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 16:30 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 16:49 | |
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| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 17:27 | |
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| | | Siloé Dunham ALWAYS ON MY MIND
messages : 375 date d'inscription : 03/02/2012 pseudo : young apple/Alix avatar : Jane Levy copyright : purple haze, bazzart - tumblr
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| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 17:30 | |
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| | | Mattéo Donovan ► RUNNING UP THAT HILL.
messages : 50 date d'inscription : 06/02/2012 pseudo : marissa./estelle avatar : hayden christensen copyright : (c) marley smith
| Sujet: Re: MATTEO ► when you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell Lun 6 Fév - 19:00 | |
| merci beaucoup tout le monde de l'accueil
- Elias Charleston a écrit:
- Nanon Proust a écrit:
-
Je m'en remets toujours pas, merci mille fois Et bienvenue parmi nous Tu peux me harceler par MP quand tu veux ouais ça va. c'est pas non plus ton dieu hein.
bienvenue parmi nous
- Spoiler:
un peu quand même
merci bien m'sieur (je trouve que ton avatar, va très bien avec la circonstance )
- Spoiler:
- Arthur Carmichael a écrit:
- GENRE ? ESTELLE ?
ça fait plaisir de te voir ici Bienvenue parmi nous MAAAARIIINNNEEE mon dieu, que je suis heureuse aussi de te voir ici, en plus avec dornan toujours les bons choix nous faudra un lien
- Prim Wilsworth a écrit:
- ESTELLE
Ca fait tellement longtemps, bienvenue parmi nous, hayden est tellement beau
C'est Marine, si tu te souviens plus de moi (ta juliet sur OC) MAARRIIINNEEEE ça faisait un petit moment que je te croisais plus, ça me faisais presque peur en tout cas, vraiment heureuse de te retrouver aussi ici. nous faudra un lien également les deux marine quoi, comment ça gère
merci beaucoup les filles
- Logan Williams a écrit:
- je dois avouer quand même que hayden est un très bon choix, bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche. mais après ça, attention
benjamin mckenzie est une pure merveille de choix qu'on voit malheureusement que très peux ça être dur aussi de te détester birdel merci bien l'ami [/i] | |
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