| | (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. | |
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Aphrodite G. Reynolds IT'S IN THE WATER BABY, IT'S IN THE SPECIAL WAY WE FUCK.
messages : 23 date d'inscription : 06/02/2012 pseudo : M. avatar : Daisy Lowe. copyright : cycy-cycy
| Sujet: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Lun 6 Fév - 18:58 | |
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Aphrodite Reynolds ❝ J'ai failli tomber par terre, monsieur le diable avec vous. ❞NOM: Reynolds PRÉNOM: Aphrodite, en premier prénom. La déesse grecque de l'amour, des plaisirs et de la beauté. Et aussi de la germination, mais bon. A voir si la demoiselle porte bien son prénom ou non. Son deuxième prénom, beaucoup plus commun, est Ginger. ÂGE: Vingt-deux ans depuis quelques semaines. (et ouais) DATE ET LIEU DE NAISSANCE: La cité des Anges, un trente janvier . MÉTIER/ÉTUDES: Ex-fille de, et actuellement, au chômage. Hélas, fauchée. STATUT: Célibataire. On se lasse bien trop vite d'une personne pour avoir le temps d'être en couple avec. TRAITS DE CARACTÈRE: Impatiente. Je m'en foutiste. Taciturne. Joueuse. Bornée. Prétentieuse. Colérique. Illogique. Imparfaite. Cynique. Mesquine. Moqueuse. Aguicheuse. Sans gêne. Vulgaire, parfois. Débauchée. Cassante. Blasée. Dépendante. Indépendante. Arrogante. Méprisante. Égoïste. Franche. Impulsive. Intelligente. Cruelle. GROUPE: GROUND FLOOR don't be afraid of tomorrow Elle est dépendante d'Apölyne et ne supporte pas d'être éloignée d'elle, ne serait-ce qu'une journée. Elle s'arrange pour être sans cesse en contact avec elle par textos et panique facilement lorsqu'Apölyne ne lui répond pas. Concrètement, elle n'est strictement rien sans Apo et préfèrerait de loin se faire sauter la cervelle plutôt que de supporter une existence sans elle. _ Il y a peu, Aphrodite était une 'fille à papa' et ce simple statut de potiche lui convenait parfaitement, jusqu'à ce que les fraudes fiscales de son père soient révélées. _ Elle est donc au chômage et manque cruellement d'argent, mais ne se résigne pas à chercher un job, bien trop fière pour devenir une simple employée et obéir à un supérieur. _ Le peu d'argent qu'il lui reste, elle l'a déniché en vendant tout ce qu'elle avait, ou presque. Les bijoux de luxes, meubles, vêtements, chaussures, sacs à mains. L'appartement d'A&A est presque vide, du coup. _ Deux tiers de l'argent qu'elle en a tiré sert au loyer, le reste aux cigarettes et boissons. Parfois, pour manger aussi. _Aphrodite ne supporte pas de ne rien faire. Elle a besoin d'être sans cesse en mouvement, d'avoir la tête occupée. _ Elle dort bien trop peu. _ Elle est bisexuelle depuis qu'elle a rencontré Apölyne. _ Profondément jalouse du bonheur des autres, elle jubile lorsqu'elle a l'opportunité de briser des vies. C'est jouissif, le malheur des autres. _ Elle s'est teinte en blonde lorsqu'elle a été séparée d'Apölyne, parce qu'elle lui manquait trop. Depuis, elle regrette et trouve qu'elle était mieux en brune. _ Elle ne touche plus à la cocaïne, ni d'autres formes de drogues, depuis l'overdose d'Apölyne. La seule chose qui la motive à ne pas 'rechuter' est justement Apö, parce qu'elle sait pertinemment que si elle reprend ne serait-ce qu'une dose, Apölyne aussi. Et elle en crèverait, de revoir Apölyne refaire une overdose. - in real life:
PRÉNOM/PSEUDO: M. ÂGE: Seize ans. CÉLÉBRITÉ: Daisy Lowe. DÉDICACE: MA FEMME TU GERES. Minhou, Julie, Deby, Céline, Pauline (a), Justine, tous les anciens de CTA. ♥
Dernière édition par Aphrodite G. Reynolds le Dim 12 Fév - 22:26, édité 16 fois | |
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| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Lun 6 Fév - 18:58 | |
| romance your ego for a while
EVERYONE SAID FROM THE START NOT ONE SINGLE THING COULD EVER BE OKAY SHE DIDN'T LISTEN ANYWAY. Billet de cinquante dollar finement roulé, Aphrodite s’enfarine les narines exagérément avec ses deux-trois lignes droites de cocaïnes faites sur la table basse du salon. Elle ferme les yeux, bascule la nuque en arrière et pouffe de rire. Elle s’esclaffe, n’entend rien d’autre que la musique bien trop forte dans l’appartement et oublie temporairement les gens qui l’entourent, même Apölyne, à ses côtés, c’est peu dire. Euphorie à la con, tout lui semble beau avec sa poudre magique, tout est hilarant à souhait. Lorsqu’elle ouvre les paupières, une dizaine de secondes après sa prise de cocaïne, Apölyne n’est plus avec elle. A la place, un homme, sans doute inconnu. « T’as un reste de cocaïne, là » qu’il lui fait, en effaçant les traces de cette poudre sur sa narine gauche. Nouvel éclat de rire incontrôlé d’Aphrodite. Lorsqu’elle parvient à reprendre son souffle, un fin sourire de dessine sur son visage. « Je suis … défoncée. » Rires partagés par l’inconnu. C’est con, pitoyable, d’être dans un état pareil. Mais on se sent un peu moins lamentable avec de la poudre au nez. On se sent invincible, physiquement et mentalement. C’est mieux. Pour l’instant. « J’ai chaud. » Elle attrape un verre mi- rempli, au hasard. Sans vraiment identifier le liquide, elle avale le tout et repose la coupe sur la table. Elle termine les fonds de bouteilles, se fait un trait entre chaque gorgée, éclate de rire sans raison, discute plus ou moins avec le type. En quelques minutes, Aphrodite se retrouve sur l’homme, à rire, l’embrasser, toucher ses cheveux, glisser agilement sa main dans son pantalon. C’est drôle, les fêtes de ce genre tournent rapidement à la partouze, et elle ne serait pas étonnée de voir d’autres personnes dans la même situation qu’eux si elle tournait la tête. Le quart des personnes présentes à cette fête regretteront leurs actes le lendemain. Les autres sont déjà foutus et leur conscience est portée disparue depuis longtemps.
Aphrodite tourne la tête, cherche des yeux une bouteille, l’autre étant vide, alors que monsieur s’applique à baiser sa nuque et à lui tripoter les seins. En quelques secondes, il se positionne au-dessus d’elle. Monsieur préfère prendre les choses en main. Néanmoins, Aphrodite lâche subitement un « casse-toi » froid et sec lorsqu’elle aperçoit Apölyne, debout, à quelques mètres d’elle. Le regard vide, elle titube. Les yeux grands ouverts, Aphrodite repousse pour la seconde fois le type, qui ne semble pas avoir entendu ou compris sa demande. Apölyne s’écroule sous ses yeux. « Lâche moi, bordel, lâche moi ! » Le ton est plus affolé. C’est qu’elle a peur, Aphrodite. Cette fois si, si son rythme cardiaque s’accélère rapidement, ce n’est plus à cause de la cocaïne, mais de la peur. Elle panique, vraiment. L’homme rit, il ne comprend pas et pense sans doute qu’elle se joue de lui. Mais, pas cette fois. Oh que non. « Laisse toi faire » qu’il lui dit, nerveusement. Peut-être qu’il a peur de voir son plan cul de la soirée lui passer sous le nez. Aphrodite ne quitte pas Apölyne des yeux, et commence à se débattre. C’est rare, qu’elle ne soit pas consentante, croyez-moi. Coup de genoux bien placé, le type se redresse, hurle un « Putain de connasse » alors que la jeune femme accourt auprès de son amie. Elle crie son nom plusieurs fois, mais, rien à faire, elle ne réagit pas. Réflexe un peu tardif, Aphrodite prend son portable dans sa poche, compose rapidement le fameux numéro. « C’est mon amie, elle ne va pas bien, je crois qu’elle fait une overdose, j’ai oublié ce qu’il faut faire dans ces cas-là, je sais plus, bordel, je sais plus, je sais plus, mais elle ne doit pas partir, elle doit rester avec moi, putain, je sais plus. » Aphrodite se perd dans ses paroles. Faut dire que dans sa tête, c’est Bagdad. Tout est flou, dans un désordre total. Elle panique, a du mal à respirer convenablement. Au bout du fil, une voix de femme tente de la calmer, en lui disant qu’elle doit parler plus lentement pour qu’elle comprenne, et elle lui demande l’adresse. « Je sais plus, je sais plus. » Elle bug littéralement. On lui ordonne d’arrêter de s’affoler, de respirer profondément et donner l’adresse, sans quoi, son amie risquerait de ne pas s’en sortir. Fille obéissante, Aphrodite donne l’adresse, le plus clairement possible. Elle chiale. Faut croire que la situation est vraiment critique. On lui dit qu’elle ne doit pas laisser Apölyne partir, qu’elle doit lui parler au maximum, et que les secours arrivent tout de suite. « Me laisse pas, bordel, me laisse pas, je t’en prie. » Elle geindre, pleurniche. Et puis, elle hurle qu’elle n’a pas le droit de partir, comme ça, parce qu’elle l’aime. Oh oui qu’elle l’aime. A moitié triste, à moitié furieuse. Ca ne devrait pas se passer comme ça. Absolument pas. Les gens s’attroupent à côté d’elles, mais, à vrai dire, Aphrodite n’y fait strictement pas attention. C’est Apölyne et elle. Personne d’autre n’existe, à cet instant. S’il ne fallait citer qu’un nom pour décrire la vie d’Aphrodite, ce serait Apölyne, vous saisissez ? Elle représente un tout, et sans elle, il ne resterait plus rien d’Aphrodite. Ce serait un putain de néant. Plus que deux amies, plus qu’un couple amoureux. Impossible de décrire exactement le lien qui unie les deux A&A, mais il est fort, bien fort. Un peu malsain, sans doute, mais peu importe. Si Apölyne part, Aphrodite part. Promesse qu’elle se fait en chialant en attendant les secours.
OH, YOU'RE FIGHTING GOT YOU NOWHERE IF NOWHERE'S HERE WITH YOU, ALL I'M ASKING AND YOU COULD FIGHT FOR EVER BUT IF YOU KILL THEM ALL, YOU'LL NEVER WIN. Ce serait mentir que de dire que ce n’était pas prévisible et qu’Aphrodite ne s’y attendait pas. La fin était inévitable, à en prendre plus, toujours plus, beaucoup trop fréquemment. Un cercle vicieux, cette merde. Une heure de bonheur artificiel, et ensuite, c’est la descente. La descente aux enfers, en vérité, plus douloureure que tout autre chose. Pendant ce temps-là, la fatigue alors ignorée nous revient en pleine tronche. On a l’impression d’être au ralenti, on vire parano, anxieux, limite dépressif. Pour éviter ça, A&A reprennent de la cocaïne. Et ainsi de suite. Bordel. Seulement, Aphrodite espérait profondément y passer avant Apölyne. Terminer cette chienne d’existence plus ou moins heureuse, en bonne compagnie, fermer les yeux une dernière fois et ne se préoccuper plus de rien. La boucle serait bouclée. Hélas. Le cœur d’Apölyne a décidé de lâcher un peu plus tôt que celui d’Aphrodite. Triste constat. Douloureuse claque dans la gueule. T’as osé espérer crever avant elle sans vraiment te soucier de ce qu’elle ressentirait, le karma t’est revenu dans la tronche comme un boomerang. Prends ta souffrance, et fais pas chier, tu l’as mérité, fallait pas être aussi égoïste Bordel. « Aphrodite, comment tu te sens, aujourd’hui ? » Médecins, infirmiers, psychologues, maîtres de sport, spécialistes des techniques de relaxation, conseillers en addiction et même des diététiciennes, on trouve de tout ici, dans l’un des centres de désintoxication les plus chers d’Amérique. Helen est psychologue, et Aphrodite la voit deux fois par semaines. Elle se permet de tutoyer Aphrodite et dit que c’est une manière d’être déjà proches l’une de l’autre. Quelle conne. Aphrodite a la nette impression d’être une gosse de six ans, avec elle. Mais elle ne bronche pas. « Pas trop mal. Je tourne en rond sérieux ici, mais ça va. » C’est bien la première fois qu’Aphrodite voit une psychologue. Mais, c’est dans le programme. Elle est forcée de le suivre. Ma foi. « Il ne te reste qu’une semaine et tu seras libre, tu sais. Une semaine, ça passe rapidement. » Cela fait un mois qu’elle est ici, et depuis son arrivée, la vie lui semble bien longue, à Aphrodite. Le monde entier semble s’être figé. Bloqué sur pause. Elle mange, lit des bouquins, fait des promenades et roupille. Et recommence inlassablement. Finalement, c’est en étant enfermée ici qu’elle a l’impression de devenir complètement tarée. Dieu que c’est fastidieux. Plus une goutte d’alcool, plus une taffe de cigarette, plus de sexe non plus. Et pourtant, elle a bien essayé de se faire l’infirmier plutôt pas mal, mais il ne voulait pas d’elle, parce qu’il ne veut pas de relation avec ses patientes. Il risquerait de se faire virer, d’après ses dires. « On voit que vous n’êtes pas une patiente. Une semaine, c’est horriblement long. » La psychologue griffonne on ne sait quoi. Des vicieux, ces connards de psychologues. Malheureusement, Aphrodite n’a pas été admise dans le même centre qu’Apölyne. Leurs parents ont cru que ça les aiderait mieux à s’en sortir. Décision stupide. Apölyne lui manque. Ça lui fait mal quelque part, au cœur. Elle ressent un vide. Elle a l’impression d’être morte, dans la clinique. Elle se contente d’attendre. Comme toujours, vous allez me dire. Ce qui est drôle, quand on est riche, c’est qu’on peut faire n’importe quel caprice. Aphrodite a demandé à voir un coiffeur, pour devenir blonde. L’administration a rechigné, mais ils ont finalement accepté, parce que les parents d’Aphrodite leur ont versé une grosse somme d’argent à son arrivée pour que « tout se passe parfaitement bien ». Blonde, comme Apölyne. Une façon de l’avoir prêt d’elle, indirectement. Elle a justifié son acte en disant qu’il s’agissait d’une teinture pour commencer une « nouvelle vie » sans toutes ces « conneries ». Cette raison-là est fausse, bien évidemment. Ici, elle n’a le droit aux visites que de ses parents. Pas de téléphone. Coupée du monde, en somme.
D’ailleurs, ce n’est qu’à sa sortie de cure qu’Aphrodite apprendra que les Reynolds n’ont plus un sous. Fraude fiscale de son père, depuis des années. Sa mère est sur le point de divorcer avec, pour son image, elle ne peut pas vivre avec un escroc. C’est ce qu’elle dit. C’est drôle, quand on y pense, le nombre de choses qui se passent en cinq semaines. Vraiment. C’est touchant, lors de sa sortie de cure, de voir sa mère fondre en larme. Assurément. Elle semble particulièrement fière de voir sa fille sortir d’ici. Lorsqu’ Aphrodite revoit Apölyne, elle tombe dans ses bras, et, une nouvelle fois, se retrouve à pleurer. Elle a sans doute l’air pitoyable, mais, bon sang, il s’agit d’Apölyne. Elles restent ensemble chez les parents d’Apölyne, parce qu’il est apparemment préférable que leurs parents gardent un œil sur elles quelques semaines. Pour s’assurer que « tout va bien » et qu’elles ne replongent pas.
SO GIVE ME YOUR SURRENDER BUT THERE ARE OTHER WAYS TO KILL THE PAIN BUT THEN IT WOULD NEVER MEND TO YOU IT'S LIKE TRYING TO DRY YOUR EYES IN A POURING RAIN.
Fuir Sacramento, c’était un peu la seule issue, si vous voulez. De toute façon, Aphrodite allait devenir tarée, à vivre là-bas. Ca la bouffait trop, de ressentir quelque chose pour Bhowy. Il fallait partir, et vite. Et puis, revenir là-bas, environ sept mois après, ce serait bizarre. Une nouvelle vie, c’est mieux dans une nouvelle ville. Avec de nouvelles personnes. Exactement. Ce sera toujours A&A, mais dans une autre vie. Un autre contexte. On efface le passé, comme une cassette vidéo, et on se démerde à refaire sa vie, sans argent, parce que les parents d’Apölyne ont jugé bon de lui couper les vivres. Ils ont peut-être pensé que ça lui évitera de dépenser une nouvelle fois son fric n'importe comment. Refaire sa vie à Brooklyn, c’est chiant . Parfois, Aphrodite a l’impression d’être encore enfermée dans la clinique. Elle s’ennuie. Elle attend. Elle ne sait pas trop quoi, mais elle attend. Sa vie n’est plus sur pause, mais reste incroyablement ralentie. C’est dingue comme tout était plus joli avec quelques grammes dans l’organisme. Elle a l’impression d’être sans cesse en dépression. Techniquement, elle n’est plus en manque. Contrairement à l’héro, on n’est pas accro à vie à la cocaïne. Quand on a arrêté pendant un petit moment, c’est fini. Son corps n’en a pas particulièrement besoin. Rien. Techniquement, elle est plus ou moins remise. Mais, finalement, pas vraiment. Elle préférait sa vie, avec la poudre. Elle regrette ce temps-là. C’était mieux avant. Triste constat, au fond, elle préfère s’autodétruire plutôt que de vivre normalement. Elle boit toujours, et fume toujours. On ne peut décemment pas tout plaquer comme ça.
Dernière édition par Aphrodite G. Reynolds le Dim 12 Fév - 22:24, édité 4 fois | |
| | | Luffy M. Dog CANARI EN SUCRE ♈ Baisant sur l'arc-en-ciel
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| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Lun 6 Fév - 18:59 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Bhowy S. Harryson LIFE IS SHORT, SO IS YOUR PENIS.
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| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Lun 6 Fév - 19:15 | |
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| | | Sirius Charleston
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Lun 6 Fév - 19:28 | |
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| | | Bhowy S. Harryson LIFE IS SHORT, SO IS YOUR PENIS.
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| | | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Lun 6 Fév - 20:19 | |
| Bienvenue |
| | | Arthur Carmichael
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| | | | James Gronsky DANCE WITH THE DARKNESS
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| | | | Mason Hartwood ♈ I'M PARALYSED WITHOUT YOU
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| | | | Prudence A. Bradford TIME TO BRAVE THE STORM.
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| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Lun 6 Fév - 20:39 | |
| Welcooome | |
| | | Aphrodite G. Reynolds IT'S IN THE WATER BABY, IT'S IN THE SPECIAL WAY WE FUCK.
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| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Lun 6 Fév - 22:15 | |
| - Luffy M. Dog a écrit:
- Marloeeeeeeeeeeeeeees OMG excellent choix (a) J'exige un lien Bienvenueeee
T'es canon toi. Pas de problème pour le lien, je te mpotte dès que j'y pense, ou MPotte moi, ce serait pas plus mal. - Eliana Königsberg a écrit:
Bienvenue sur CTA Kate Elle est excellente dans AHS. - Bhowy S. Harryson a écrit:
MADDIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE ma salope d'Aphro Bienvenue vieille, bon courage pour ta fiche, et puis le lien on l'a déjà JULIE :heart Ta salope d'Aphro, ouais. Cette fois, en décembre, on y sera encore, tu crois ? - Sirius Charleston a écrit:
- Bienvenue parmi nous.
Ton avatar ! Merci beaucoup. - Hadrien-Gaspard G.-Hawkes a écrit:
- Marloes + Beigbeder + ton pseudo = j'te baise aussi bb
BIENVENUE , bonne chance pour ta fiche et prépare ta boite mp pour mon passage Tu sais déjà mon avis sur ton pseudo aussi hein. Et j'avais pas vu, mais ton avatar est super canon aussi. Bref, je veux faire des cochoncetés avec toi, partout, donc, j'attends ton MP avec impatience. - Bhowy S. Harryson a écrit:
Sérieux guys, calmez vos joies, allez en chercher une autre -ok je sors- ... - Septime "Pussy Eater" C. a écrit:
- t'as cité BB, c'est bon, tu es dans mes petits papiers.
en plus ton avatar, c'est un truc de niqué comme je l'aime bien. bienvenue et bon chance. (tu peux que comprendre si t'as vu le film taken) "Pussy Eater" Je n'ai absolument pas vu le film, mais, merci. (et je réclame un lien) - Linton A. O'Hara a écrit:
- Bienvenue
Merci ! - Arthur Carmichael a écrit:
- Bienvenue parmi nous
Merci ! - James Gronsky a écrit:
- elle est belle, je connaissais pas.
bienvenue. Pettyfer ! Si tu veux, tu peux me faire des gosses, hein. - Georgie Bearsby a écrit:
- bienvenue.
Merci ! J'adore ton avatar. - Mason Hartwood a écrit:
- BIENVENUE
GARFIELD. On fait des cochoncetés dans tu veux. - Prudence A. Bradford a écrit:
- Welcooome
J'aime beaucoup le pseudo ! Merci ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Lun 6 Fév - 22:27 | |
| Bienvenue parmi nous jolie blonde. |
| | | James Gronsky DANCE WITH THE DARKNESS
messages : 285 date d'inscription : 04/02/2012 pseudo : smooth criminal, maëlle. avatar : alex pettyfer. copyright : ( AVATAR ) matchbox. - ( SIGNATURE ) tumblr.
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| | | | Caesar J. Schneider
messages : 86 date d'inscription : 03/02/2012 pseudo : ADOKO (Pauline) avatar : Harvey Newton Haydon copyright : voir avatar.
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| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Mar 7 Fév - 12:50 | |
| J'exiges ton meilleur lien bébé | |
| | | Sony Chamberlain SLAVE TO THE MERCY OF LOVE
messages : 790 date d'inscription : 25/01/2012 pseudo : charmings avatar : leighton meester copyright : crusty reek (avatar) tumblr (signature)
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| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Mar 7 Fév - 12:52 | |
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| | | Isil-Elwing Ash
messages : 346 date d'inscription : 03/02/2012 pseudo : crystal-ali'j. avatar : lindsey wixson. copyright : (c) retrotrend.
| | | | Siloé Dunham ALWAYS ON MY MIND
messages : 375 date d'inscription : 03/02/2012 pseudo : young apple/Alix avatar : Jane Levy copyright : purple haze, bazzart - tumblr
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| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Mar 7 Fév - 13:53 | |
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| | | Emma Siggers ▽ DANCE THIS MESS AROUND.
messages : 841 date d'inscription : 28/01/2012 pseudo : Bee/Brain Damage avatar : Karen Gillan copyright : © avatar ▷ fluffy paws. signature ▷ tellmetofeel.
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Mar 7 Fév - 17:28 | |
| Bienvenue à toi sexy blondie. |
| | | Cataleya Steadworthy WHAT MAKES YOU BEAUTIFUL
messages : 228 date d'inscription : 03/02/2012 pseudo : GOLDEN GATE./Pauline avatar : rachel sarah bilson copyright : money honey (avatar) tumblr (signature) the notebook (citation)
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| Sujet: Re: (DONE) Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. Mar 7 Fév - 17:40 | |
| bienvenue | |
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