Sujet: « Il reste toujours quelque chose de l'enfance, toujours... » Ven 3 Fév - 20:31
Lizbeth Leana McFear
❝ Au fond, est-ce que ranger ça ne revient pas un peu à foutre le bordel dans son désordre ? ❞
NOM:McFearPRÉNOM:Lizbeth LeanaÂGE:22 ans (et demi)DATE ET LIEU DE NAISSANCE:le 02 avril 1989 à Valley Stream, aux portes de New-YorkMÉTIER/ÉTUDES:Artiste : photographe et peintre de l'absurde STATUT:célibataire, mais entourée de jolis garçons TRAITS DE CARACTÈRE: douce - énergique - lunatique - s'habille selon ses goûts - bordélique - gentille - chocolatvore - sexy (et elle en profite) - jalouse - affectueuse - ne tient pas en place - maladroite - excentrique - souriante - accueillante - frileuse - joueuse GROUPE:THIRD FLOOR
don't be afraid of tomorrow
Liz est.. 1 • bordélique. Énormément. Au point que l'on pourrait retrouver ses sous-vêtements dans le frigo. Ses draps en train de sécher dans l'entrée. Ses toiles d'artiste et son appareil photo à côté de la douche... 2 • énergique. Tout le temps en forme, prête à faire un marathon dans les escaliers contre l’ascenseur à tout moment, acharnée de la wii, et rarement fatiguée. Elle est une adepte des sorties nocturnes, particulièrement quand elle est bien accompagnée.. 3 • maladroite. Une gaffe à faire ? Elle est là. Et elle n'y manquera pas.. Un coin de tapis relevé ? Une flaque dans la salle de bain ? Il en résulte une chute. Un vase fragile posé au bord d'un meuble ? Mieux vaut ne pas y penser. 4 • affectueuse. Vous êtes avachis dans un fauteuil, tel une larve, à vous poser mille questions existentielles (ou bien à comater) ? Elle ne demandera rien, aucune questions, et viendra simplement se poser contre vous, pour vous câliner. Elle ne refusera d'ailleurs jamais une quelconque marque d'affection, de qui qu'elle provienne. 5 • joueuse. Elle ne refusera jamais un pari, ou un jeu, aussi stupide qu'il soit. Elle est toujours partante ! 6 • excentrique. En effet, vous ne verrez personne s'habiller comme elle.. Elle a, disons, un style bien particulier.
romance your ego for a while
Liz est née un beau deux avril, de l’année 1989. Elle est arrivée comme une blague, un peu en retard. Une adorable petite blonde, gazouillant dans son berceau. Un ange me direz-vous ? Bien loin de là ! Innocente petite chose, qui dès que ses parents avaient le dos tourné, s’amusait à tirer de toutes ses forces sur les rideaux jusqu’à ce qu’ils se décrochent ou à lancer ses peluches sur les flacons de parfums de maman. Mr et Mrs McFear n’y comprenaient rien, si bien qu’ils firent appel à un exorciste, croyant la maison hantée. C’est d’ailleurs depuis ce jour-là que Liz a une peur bleue des vieux hommes barbus avec une calvitie, quelque peu masquée par une paire de lunettes rondes à verres plus épais qu’une phalange de doigt. La petite blonde, ayant peur que cet individu ne revienne, cessa ses frasques quelques temps. Ses parents étaient au summum du bonheur, affectueux comme personne avec leur bébé, la câlinant à tout bout de champ, obéissant à tous ses désirs.. Ils étaient le prototype parfait de la famille heureuse. Jusqu’à ce qu’un jour, une dame coiffée impeccablement, maquillée au millimètre et habillée d’un petit tailleur droit, avec chemiser blanc entré en dedans, ne vienne la chercher à la crèche. Elle était en train de jouer avec Tate, un petit garçon de deux ans son ainé avec qui elle s’entendait à merveille, quand elle la vit entrer. Tout de suite, la jeune femme se dirigea vers le bureau de la directrice. Quelques minutes plus tard, elle emmenait Liz dans un foyer. La petite fille demanda tout du long du trajet à la femme où elle l’emmenait, et pourquoi. Sa maman et son papa allaient s’inquiéter ! Ce n’est qu’une fois arrivées devant le bâtiment du foyer que la femme coupa le moteur, se retourna vers Liz et lui dit : «Tes parents ne s’inquièteront pas. Ils ont eu un accident de voiture. Tu ne les reverras plus. » La petite fille commençait à voir trouble, les larmes lui étaient montées aux yeux. « Cette nuit, tu dormiras ici, avec d’autres enfants, jusqu’à ce qu’on trouve des gens qui voudront bien être tes nouveaux parents. Voilà Sarah, elle s’occupera de toi. Au revoir. ». Pendant ce temps, une femme plus âgée, à la peau fripée et à l’air doux et fatigué s’était approchée de la voiture, et avait ouvert la portière. Elle avait pris dans ses bras la petite fille en pleurs et l’avait portée avec elle, pendant que celle-ci criait à travers ses larmes : « Je veux ma maman ! Papa ! ».. Elle ne resta que deux mois au foyer, un jeune couple se proposa rapidement comme famille d’accueil. C’était deux mois de trop, elle s’était totalement refermée sur elle-même, s’auto-excluant du groupe des autres enfants et n’adressant la parole à personne. Son mutisme exaspéra le jeune couple, et elle navigua à travers New-York, dans de nombreuses familles d’accueil. Ce n’est qu’un jour où elle arrivait dans une nouvelle famille, une nouvelle maison, qu’il lui sembla reconnaitre quelque chose… Elle connaissait ce quartier, elle y était déjà venue par le passé. Ce n’est que quand elle passa devant une maison, cette maison, que la mémoire lui revint. C’était ici qu’habitait Tate ! Elle était souvent venue jouer chez lui, et lui chez elle, quand elle avait encore ses parents… Elle se libéra alors de la main de Sarah, qui la menait dans son nouveau « chez-elle », et courut jusqu’à la porte, y frappant de toutes ses forces. Un homme ouvrit, des relents d’alcool assaillirent la jeune fille. Oui, c’était ça, elle le reconnaissait. C’était bien le père de Tate. Une mince lueur d’espoir l’envahit, et elle regarda dans le couloir, derrière l’homme. Tate venait d’arriver, alerté par le bruit. Liz se faufila entre les jambes de l’homme, ne sachant s’il l’avait reconnue, et à vrai dire elle s’en fichait. Elle se jeta dans les bras de Tate, et pour la première fois depuis un peu plus de deux ans, elle pleura. Elle pleura et elle parla, dans un tel désordre que le petit garçon ne comprenait rien. Mais il voyait qu’elle n’était plus la même qu’avant. Il était heureux de la retrouver, mais il voyait qu’elle avait changé. Puis Sarah arriva, et elle essaya d’emmener Liz. Celle-ci se mit à hurler, se débattre, si bien que la femme du foyer dut se résigner. Elle alla seule à la rencontre de la famille adoptive, et l’emmena chez Tate, avec l’accord de son père, évidemment, et les présenta à la jeune fille. C’était des parents comme les autres, mais la petite fille avait bien compris que si elle se faisait à nouveau renvoyer, elle perdrait encore Tate. Elle devint donc sage, en apparence, fuguant les soirs pour retrouver son ami, devenant jour après jour un peu plus heureuse que la veille. Tate lui rendait le sourire, lui apprenait les pires bêtises, et se soutenant mutuellement quand l’un d’eux allait mal. Il devint aussi sa première histoire d’amour, sa première fois aussi. Puis ils préférèrent rester amis, vaquant auprès des hommes, des femmes, des deux aussi, chacun de leur côté, puis partageant leurs expériences, se lançant des paris plus fous les uns que les autres. Un jour, alors que Tate venait d’avoir 18 ans, il lui annonça qu’il allait vivre seul, dans un appartement qu’il avait trouvé. Enfin seul.. plus ou moins. Elle était invitée. Elle ne se le fit pas dire deux fois, et sa famille d’accueil ne trouva rien à redire ; elle était pour eux une fille sage, sans histoires, et ils savait combien elle était heureuse avec le jeune homme. Ils la laissèrent donc partir. Depuis ce jour, Liz s’est enfin sentie libérée, elle-même. Elle se lança dans l’art et la photographie, tandis que le jeune homme enchaînait les petits boulots. Un jour, elle leur trouva un locataire, Luffy. Beau comme un dieu, elle l’appréciait beaucoup. Tate eut plus de mal à l’adopter, mais Liz voyait bien dans ses yeux qu’il appréciait lui aussi sa présence. Et il y a de cela à peine trois semaines, un petit nouveau avait fait son apparition dans l’appartement. Caesar. Un jeune homme adorable, mais Liz sentait qu’il avait un passé qui lui pesait, et qu’il en souffrait. C’est d’ailleurs peut-être pour ça qu’elle était tombée en affection pour lui quand elle l’avait rencontré. Enfin, elle l’avait accueilli lui aussi. Même si l’appartement lui semblait à présent plus étroit, elle était heureuse de vivre avec ces trois homme. Elle se sentait bien. C’est tout.
Maintenant, comme vous l'avez surement compris, nous sommes quatre dans l'appartement, depuis que Luffy et Caesar nous ont rejoint. Tout se passe bien, comme vous pouvez le voir. Vous ne nous reconnaissez pas ? Voyons ! Bon. Eh bien de gauche à droite : Caesar (par terre), Liz (si si, moi-même), Tate et Luffy. Adorables, n'est-ce pas ?
in real life:
PRÉNOM/PSEUDO:CamilleÂGE:16 ansCÉLÉBRITÉ:Amanda Seyfried DÉDICACE:Vive la renaissance de CTA
Dernière édition par Lizbeth L. McFear le Dim 5 Fév - 12:21, édité 16 fois
Jules Fawkes I FEEL HOMELESSSomewhere along the way.
Sujet: Re: « Il reste toujours quelque chose de l'enfance, toujours... » Sam 4 Fév - 21:58
J'avance mon chéri ♥
Caesar J. Schneider
messages : 86 date d'inscription : 03/02/2012 pseudo : ADOKO (Pauline) avatar : Harvey Newton Haydon copyright : voir avatar. GOOD FEELINGS → sms/messagerie:
Sujet: Re: « Il reste toujours quelque chose de l'enfance, toujours... » Sam 4 Fév - 23:09
Le gif est trop mignon ! Et bien sûr c'est moi qui me casse la gueule. Quoi que je dirais que c'est toi sachant que tu es maladroite Hâte de te lire babe. Vends moi du rêve ! C'est un ordre