DID I CROSS THE LINE ?

siloé phoebe dunham

❝ reggae night ❞

NOM: Dunham. PRÉNOM: Siloé, Phoebe (ouais comme Alyssa Milano dans Charmed), mais la plus part du temps, les gens l’appellent Phoebs. ÂGE: vingt trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: dix-huit juin 1989 à New-York. MÉTIER/ÉTUDES: étudiante dans l’édition. STATUT: célibataire. TRAITS DE CARACTÈRE: indépendante, optimiste, souriante, maladroite, jamais à l'heure, dilettante, drôle, casse-cou, elle fourre son nez partout, bavarde, honnête, droite, compréhensive, pétillante et douce. GROUPE: second floor.

don't be afraid of tomorrow

001. elle est allergique aux arachides et gonflent comme un ballon si elle a le malheur d’en ingurgiter. 002. elle a en sa compagnie un chat noir aux pattes blanches qui n’a pas de nom. Aussi, lorsqu’elle le cherche, elle l’appel via divers sobriquet tels que ‘panouille’, ‘chachoumou’ ou encore ‘bidibouille’. 003. maniaque, elle est toujours armée d’un aspirateur quand elle n’a pas cours. 004. quand elle a ses règles, elle pleure et traîne en jogging refusant de sortir. 005. outre sa part de féminité, Siloé n’est pas en reste lorsqu’il s’agit de foot et de basket. Incollable elle aime regarder un bon match en buvant une bière et en s’empiffrant de chips. 006. bien que son allergie l’astreigne à un régime particulier qu’elle se doit de suivre, Siloé ne se laisse pour autant pas aller. Elle surveille d’ailleurs son alimentation de très près, puisqu’au moindre écart, ses fesses et ses hanches la rappellent à l’ordre. 007. depuis un voyage qu’elle a fait en France, Phoebs est devenue accro aux pains et pâtisseries françaises. Aujourd’hui, elle se débrouille toujours pour acheter quelques baguettes dans un magasin spécialisé de la Grosse Pomme et se fait de temps à autres quelque petit plaisir gustatif en achetant des croissants et pains au chocolat pour le petit déjeuner. 008. sa santé est quelque chose de très important pour Siloé. Avec ses antécédents familiaux, elle préfère surveiller de près son cholestérol et de potentiel problèmes cardiaque qui pourraient surgir à n’importe quels moments. C’est pour cette raison, qu’elle s’oblige à courir chaque matin et à sa rendre à la salle de sport au moins deux fois par semaine. 009. Siloé ne supporte pas qu’on lui parle au réveil, aussi veillez à vous abstenir de lui adresser la parole dès qu’elle saute de son lit, auquel cas, vous risquez de perdre un de vos membres. Avant d’ouvrir la bouche, attendez qu’elle est prit son café et mangée quelque chose de consistant. 010. Nulle en travaux manuels, elle est infoutu de visser une vis avec tournevis. La fois où elle a voulu monter un meuble, le truc s’est écroulé et à casser toute sa vaisselle. 011. Siloé est une militante démocrate active. Elle participe à certains meetings organisés par les hommes politique qu’elle soutient, mais également ceux organisés par les personnages politiques important du pays, qu’elle partage ou non les mêmes opinions. 012. A fond dans la protection animale, elle à sa carte chez Green Peace et est déjà partie en mer pour sauver les bébés phoques. 013. Bien qu’elle soit quelqu’un d’actif, Siloé est deux de tension, toujours à la bourre, elle ne se presse jamais, ce qui a le don d’exaspérer ses proches. 014. Elle est une fervente adepte de l’effort zéro et en fou le moins possible à la maison. 015. Son gros soucis dans la vie, c’est les mecs. Elle craque sur tout ce qui bouge et qu’elle trouve comestible. Telle une lionne affamée, elle est toujours sur le qui-vive et ne laisse jamais sa part aux autres. 016. Les cookies sont un de ses nombreux point faible. En règle général, dès que vous lui parlez bouffe ou animaux, elle fond. 017. Les walt disneys sont toutes sa vie. Fane de Raiponce et Montres & Cie, elle peut se passer des dimanches entier à regarder ces vieux dessins animés. 018. Souvent en vadrouille, elle aime passer du temps dehors et se balader en ville ou dans central park. 019. Elle adore dévaliser les magasins, sa carte bleue peut d’ailleurs témoigner de son addiction au shopping. 020. Siloé a été témoin de l’assassinat du meurtrier des parents de sa cousine. Elle a juré à cette dernière de ne jamais en parler.

(bannière) scratchtovoid@tumblr

in real life:

romance your ego for a while

Les mains glacées, le visage figé, Siloé n’aimait décidément pas les hôpitaux. Cette odeur de désinfectant mélangée aux plats préparés servis aux malades, lui donnait la nausée. Ces murs blancs dénués de vie et de chaleur la laissait perplexe quant aux soins que son père était en train de subir. Appelée en pleine nuit par sa mère, Siloé n’avait pas minauder et avait foncé à l’hôpital, oubliant même de revêtir quelque chose de plus saillant. Son pyjama dans les bras, une infirmière lui avait prêté quelques vêtements chauds qui l’accompagneraient tout au long de cette nuit qu’elle espérait tant bien que mal heureuse. Elle voulait, évidemment, que cette histoire se termine bien et que l’attaque cardiaque de son père ne lui soit pas fatale. Seulement, la vérité était bien là, son père n’était pas sur de s’en tirer. Sa mère avait été alerté par l’irrégularité de la respiration de son époux. Affolée, elle l’avait réveillé et avait aussitôt appelé les urgences, lorsque son bien-aimé, lui fit comprendre avec des gestes, que de fortes douleurs l’avaient soudainement prises à la poitrine. Heureusement qu’ils étaient doués aux devinettes, sinon qui sait ce qui aurait pu arriver. C’est donc une fois arrivés à l’hôpital que Maria appela sa fille et l’informa en quelques mots de l’état de la situation. En partant, Siloé avait du réveiller son colocataire Mathieu avec qui elle habitait depuis maintenant plus de trois ans. Qu’importe, elle se devait d’être là, après tout, il s’agissait peut-être les derniers instants de vie de son paternel. Inquiète, elle ne cessait de se lever et de faire les cents pas dans ce long couloir où passait infirmières et médecins, tous vêtus de blouses blanches toutes aussi laides que les murs. « mais qu’est-ce qu’ils foutent merde ! » Grossière n’était pourtant pas dans sa nature profonde, seulement, aujourd’hui, son père était concerné et dès qu’on touche à la famille, Siloé devient comme folle et ne supporte pas l’attente. « chérie calme toi, ce n’est pas ainsi que tu ferras revenir ton père. Assieds-toi et essaye de te détendre. » Aberrant, c’était tout simplement aberrant. En un instant aussi critique, sa mère l’intimait de se calmer et de se détendre. A croire que le monde était à l’envers. « me calmer ? tu déconnes j’espère ! comment veux-tu que je me calme et que je me détende alors que papa est peut-être en train de mourir ! » Le ton sec et les lèvres pincées, elle retournait s’asseoir sur sa chaise en plastique rouge grinçante. Les minutes défilèrent sans qu’aucuns mots ne soient prononcés. Les mains enfoncées dans les poches de sa blouse, un jeune médecin s’approchait de Siloé et de sa mère. « Madame Dunham ? » Hochant la tête, la mère de Siloé détournait le regard du médecin pour le poser sur sa fille. La jeune rousse pouvait sentir la peur et le désarroi de sa mère. Affolée elle aussi, elle se rapprochait de sa génitrice et lui saisissait la main. « Vous n’avez pas à vous en faire, votre mari est désormais hors de danger. Heureusement que vous l’avez emmené à temps. Si vous l’aviez emmener quelques minutes plus tard, et bien, l’issue lui aurait été fatale. » « oh mon dieu, merci infiniment. Est-ce qu’on peut le voir ? » Infiniment soulagées par cette bonne nouvelle, la mère et la fille tombèrent dans les bras l’une de l’autre heureuse et finalement apaisée que cette escapade nocturne se termine si bien. « évidemment. Toutefois, veillez à ce qu’il se repose et à ce qu’il surveille son alimentation. Privilégiez les légumes, les fruits et bannissez de chez vous les pizzas ou autres aliments riches en corps gras. Ses artères pourraient à l’avenir lui causer des problèmes, s’il ne fait pas attention dès aujourd’hui. » « d’accord, merci encore pour tout ce que vous avez fait, nous vous en sommes très reconnaissante… » Saisissant la main droite du jeune interne, la mère de Siloé, se mit à la secouer comme un prunier, lui décrochant à peu de chose près le bras. Longeant les murs, elles traversèrent la moitié de l’hôpital pour rejoindre le père de Siloé, qui allongé dans son lit, ne cessait de bougonner et d’insulter les jolies petites infirmières qui s’occupaient de lui. « tu ne changeras donc jamais ! t’es déjà dur à supporter en temps normal, mais alors quand tu es malades, je ne t’explique pas l’horreur. » Elle fit un clin d’œil à son père et s’installa sur une chaise.

(…)

« bonjour Amy ! » Détournant le regard de son bol de café fumant, la jeune blonde lançait un regard noir à Siloé qui sortait de la salle de bain uniquement vêtue d’une serviette. « je ne m’appelle pas Amy, moi c’est Manon. » Confuse, du moins, c’est ce qu’elle faisait croire à cette blonde platine super bien roulée assise le cul à l’air sur la chaise de la cuisine, Siloé s’emparait d’une tasse qu’elle remplissait instinctivement de café. « oh, excusez-moi. J’avoue que j’ai un peu de mal à suivre Mathieu. Tous les soirs il ramène une nouvelle fille à la maison. C’est dommage, j’avais bien aimé Amy… Tant pis, faut croire que je ne pourrais pas nouer de lien avec la conquête de mon colocataire. » Si Manon avait eu des mitraillettes à la place des yeux, Siloé serait déjà morte et enterrée à l’heure qu’il est. « mais moi, je ne suis pas comme toutes les autres, je suis unique et je suis sur que notre histoire est faite pour durer. » Siloé affichait un sourire narquois. C’est ce qu’elles disaient toutes le lendemain de leur folle nuit de débauche en compagnie de Mathieu, le colocataire de Siloé. « c’est exactement ce qu’Amy, Jane, Betty et toutes les autres ont dit, seulement, elles n’ont pas durer plus d’une soirée, alors je ne vois pas pourquoi vous seriez une exception… sans vouloir vous vexer. » Touché, coulé. Telle une furie, Manon se levait d’un bond et fonçait dans la chambre de Mathieu, qui, encore endormi, poussait quelques gémissements lorsque la porte entrait en contact avec le mur. Portant alors sa tasse à ses lèvres, elle se délectait de son café assistant, avec fierté, aux dégâts qu’elle avait une fois de plus provoqués. C’était devenu un jeu, presqu’un rituel entre Mathieu et Siloé. Il faut dire que ce sont tous deux de grand sac à conneries. Dès lors, Siloé n’a eu de cesse d’effrayer ou de faire disparaître les conquêtes de son colocataire. N’allez pas croire que Mathieu ne fait rien pour l’ennuyer et lui rendre la vie impossible. Bien que Siloé soit capable de se lever à cinq heures du matin pour faire le ménage dans l’appartement uniquement pour emmerder son petit Frenchie préféré, le jeune brun n’est pas en reste quant aux divers moyens d’exaspérer la jolie rousse. Ils forment un tandem de choc qui a su résister aux plus fortes marées. Ils se connaissent sur le bout des doigts bien qu’ils n’habitent ensemble que depuis quelques années. Folle de rage, Manon quittait l’appartement en quatrième vitesse, renversant sur son passage une chaise et le pot à clef de l’entrée. Une fois la porte claquée, Mathieu émergeait de son antre et ne fit, pour une fois, aucune réflexion quant à la serviette qui couvrait à elle seule le corps de la jeune femme. « qu’est-ce qu’y se passe ? » Inquiète par ce soudain mutisme, elle déposait sa tasse sur la table et s’adossait au plan de travail de la cuisine. « rien, si ce n’est que j’aurais aimé que pour une fois tu n’adresses pas la parole à Manon. » Ecarquillant les yeux, elle crut s’étouffer en entendant cette phrase. « t’es pas sérieux ? » « si, d’ailleurs, à l’avenir, j’aimerais que tu ne parles à aucunes des filles qui traineront dans l’appartement. » « oh c’est bon. Tu ne vas pas me dire que cette fille était la femme de ta vie et que tu comptais l’épouser ? C’était juste un coup d’un soir, tu le sais aussi bien que moi. » « je sais bien, mais j’aurais très bien pu faire un bout de chemin avec cette jeune femme. » « tu te fous de ma gueule c’est ça ? » La tête baissée et les yeux dans le vague, Mathieu paraissait vide de l’intérieur. Soudainement, il relevait la tête et pouffait de rire. « évidemment que je me fous de toi. T’as franchement cru ce que je disais ? » Vexée d’avoir été prise pour le dindon de la farce, Siloé piquait un far et insultait son colocataire de tous les noms d’oiseaux qu’elle connaissait.

(…)

« aïe, tu me fais mal ! » Perchée sur une chaise, Siloé servait une fois de plus de modèle à Jules, qui avait débarqué comme une furie dans l’appartement de la jeune femme quelques minutes plus tôt, la suppliant d’essayer ses nouveaux modèles de robes. « arrêtes un peu de bouger, c’est pas étonnant que je plante des aiguilles dans les fesses si tu ne t’arrêtes pas de gesticuler… » Le ton était sec, les paroles incisives. Jules qui d’ordinaire ne ferait pas de mal à une moche, se transforme en un redoutable monstre des cavernes (si tant est que cette expression existe), lorsqu’il s’agit de ses créations. Pratiquement imbuvable, elle s’énerve pour un rien et devient à fleur de peau. Le pire, c’est quand les choses ne se passent pas comme elle l’avait prévu. Dès lors, elle se met à stresser et à en vouloir à la Terre entière. Alors, quand Jules devient trop cinglé, Siloé mais les holas, la fait asseoir dans un coin et l’oblige à se détendre. Que ferait-elle, si la jeune rousse n’était plus là. Peut-être déciderait-elle de sauter d’un pont construit au dessus d’une mine de charbon, de sorte qu’elle meurt en se transperçant le cœur sur une point gigantesque, un peu comme dans la Belle au bois dormant, sauf que dans ce cas là, aucuns baisers d’aucuns princes ne pourrait la sauver, puisqu’elle serait morte. Toujours plantée sur la chaise, Siloé commençait à râler de plus en plus. Debout depuis plus d’une heure, la jeune rousse commençait à sérieusement en avoir marre de cet essayage, si Jules ne s’arrêtait pas de suite, la jeune Dunham était bien capable de l’assassiner à coup de ciseau de couture. « bon écoute, j’ai mal aux jambes et si je ne m’assieds pas dans les deux minutes qui suivent, mes mollets ressembleront à ceux d’une mamie de quatrevingt ans tellement ils seront couverts de varices ! » Siloé ne prit pas la peine d’attendre la réponse de son amie pour descendre. Ni une, ni deux, elle sautait de la chaise, manquant de déchirer le modèle unique de robe de soirée qu’avait confectionné, des heures durant la jeune blonde qui, furieuse, rejetait de la fumer avec ses narines. « non mais t’es folle ou quoi ? tu tiens réellement à me gâcher la vie ? remonte immédiatement sur cette chaise ! » Fatiguée d’entendre une folle lui crier dessus, Siloé se précipitait dans la cuisine et se servait un café brûlant qu’elle humait avec intensité. « arrête un peu de te stresser. On a encore le temps, laisse moi faire une pause, en plus, tu en as besoin également. T’as dormi ces dernières 24 heures ? » Quasiment certaine que la réponse allait être négative, elle traînait Jules dans le salon, et l’obligeait à s’affaler dans le canapé pour se reposer. Ainsi se terminait cette journée de janvier 2012. Le soleil brille sur Tanzville, les oiseaux chantent et Jules et Siloé ont dévoré toute les glaces que contenaient le congélateur, c’est Mathieu qui va pas être content !

ALIIIIIIIIIIIIIIIX AMOUR DE MA VIE!
(j'adore ton anecdote entre Siloé et Jules )
Comme t'es belle en Jane!

MON AMOUR DE LA VIE POUR TOUJOURS
t'es superbe en Candice, de toute façon, t'es belle tout le temps
attends, j'ai pas encore terminé

BIENVENUE

J'aime beaucoup ton avatar, elle a de ces yeux dessus gosh

En tout cas, bonne chance pour la suite et à très vite j'espère !

la sublime Shelley
vous êtes un staff de ouf avec un forum de ouf, j'ai hâte de commencer le rp, ma fiche est bientôt terminée, encore quelques réglages au niveau des anecdotes et c'est bon