(ended) ∫ i don't know what to do 'cause i'll never be with you.

Citation :

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Il y a tes yeux qui me tuent quand tu me dis que c’est fini
Il y a le vent de nos sanglots qui souffle pour une amnistie
Mais rien n’arrêtera la lutte, rien ne séchera cette pluie
Non rien ne finira la chute car rien ne finit l’infini.

C'était la fin. Aussi bien professionnellement que personnellement. Leur histoire avait été belle. L'une des plus belles. Deux espions qui ne se connaissaient pas et qui devaient prétendre être de jeunes mariés pour leur couverture. Ils travaillaient ensemble la plupart du temps, mais les autres moments, ils étaient seuls dans leur immense maison, à se regarder dans le blanc des yeux et à ne pas savoir comment agir avec leur prétendu conjoint. Il avait fallu quelques secondes pour un coup de foudre, et quelques jours pour une concrétisation de leur amour. Ils savaient que c'était mal. Ils travaillaient ensemble, et on ne pouvait pas travailler amour et travail. Dans aucun métier, et encore moins dans celui d'espion. Ils avaient désobéi aux règles, l'amour avait été plus fort que tout. Les semaines qui avaient suivirent avait été les plus belles pour Noah. Lui qui n'avait reçu aucun amour de la part de qui que ce soit lorsqu'il était plus jeune avait vécu une histoire digne d'un film romantique. Mais comme on le dit, toute bonne chose a une fin. Il avait l'habitude de le dire, sans savoir vraiment de quoi il parlait, et sans penser non plus que le sens de cette expression était bien plus réel et douloureux qu'il le pensait. Il avait compris tout son sens alors que leur bonheur avait été réduit en miettes en quelques secondes seulement. La fin d'une mission, et le début d'une nouvelle. Une nouvelle, mais séparément. Ils devaient tous les deux accomplir leur devoir, dans un pays différent. Ils n'avaient pas d'autres choix que d'accepter. De souffrir en silence. Dans ce milieu, on est contraint d'obéir aux ordres jusqu'à la fin de sa vie, à moins de vouloir passer une vie à fuir. Alors ils devaient se dire au revoir. Aujourd'hui étaient les dernières secondes ensemble. « Je ne veux pas te quitter. » soupira Leonie, alors qu'elle se blottit contre le torse de Noah. Le jeune homme passa ses bras autour du corps de sa bien-aimée. « Moi non plus. On pourrait ne pas le faire. On pourrait s'enfuir, aller visiter un autre pays, changer d'identité et vivre notre vie. » C'était beau de rêver. C'était ce qu'ils voulaient faire, tous les deux. Mais ils ne le pouvaient pas, et il le savait autant qu'elle. « On pourrait, oui. Jusqu'à ce qu'ils nous retrouvent et nous tuent. » Noah soupira avant de se reculer et de plonger son regard dans celui bleu azur de sa compagne. « On se retrouvera. Quoi qu'il arrive, je te le promet. » Sur ce, il se pencha vers elle et posa avec délicatesse ses lèvres sur les siennes pour un baiser d'adieu. Pendant ses années d'espionnage, Noah avait appris à garder ses sentiments pour lui, ou à ne pas ressentir, carrément. Ce n'était pas bon pour lui de s'attacher aux autres. Pourtant, Leonie avait tout bouleversé. « Je t'aime. » lui murmura-t-elle après leur baiser. Elle le regarda une dernière fois, puis s'éloigna de lui, devenant petit à petit invisible. Noah baissa la tête et soupira, avant de retourner à son tour et de prendre son propre chemin. Il n'avait pas idée à quel point il avait tort de penser qu'ils finiraient par se retrouver...

Citation :

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There is love in your body but you can't hold it in
It pours from your eyes and spills from your skin
Tenderest touch leaves the darkest of marks
And the kindest of kisses break the hardest of hearts.

Nom : Noah Cassidy. Age : vingt-cinq ans. Location : New York. Mission : surveiller les soeurs Fitzgerald pour analyser le meilleur moyen de nuire à cette famille. Couverture : flic. Sur le papier, c'était ce qu'il devait faire. Il était plus focalisé sur Aspen plutôt que sur Annie, il avait vite remarqué que cette dernière était plus réservée et qu'elle ne serait d'aucune utilité dans son plan. Aspen était plus extravertie, plus débauchée, et beaucoup plus intéressante à observer. Surtout qu'elle lui donnerait beaucoup plus de choses pour nuire à son père. Voilà quelques mois qu'il l'observait en silence, sans s'approcher d'elle. Il l'avait quelques fois croisée dans l'ascenseur de l'appartement, échangé quelques politesses entre voisins, mais rien de plus. Du moins, jusqu'à aujourd'hui... Les rues de Brooklyn étaient complètement désertes, à l'exception de Noah, qui faisait le tour du quartier avant de retourné au poste de police. Noah puis Aspen. La jolie blonde était dehors par elle-même, à moitié déshabillée, et complètement achevée. Noah se gara non loin d'elle et sortit de la voiture, allant à sa rencontre. « Aspen Fitzgerald, vous êtes en état d'arrestation. » La jeune femme interpellée releva la tête vers lui et le fusilla du regard. « Etat d'arrestation mes fesses oui. T'es chou mon petit, mais laisse maman rentrer à la maison. » Noah sourit, amusé. Il n'était pas un vrai flic, faire respecter la loi n'était pas son but primordial. De plus, il était presque sûr qu'il n'aurait pas dû arrêter Aspen. Mais lui faire passer la nuit à ses côtés était le meilleur moyen d'en savoir plus sur elle. « C'est derrière les barreaux que maman va passer la nuit. » Afin de faire respecter son autorité, le jeune homme sortit une paire de menottes qu'il ferma autour des poignets d'Aspen, de façon délicate pour ne pas lui faire mal. Il la fit asseoir à l'arrière de la voiture avant de reprendre le volant et de conduire jusqu'au poste. Le trajet ne se fit pas en silence, puisque la jeune femme continua de se plaindre pendant des minutes, jusqu'à ce qu'ils arrivent enfin. Noah sortit de la voiture et alla ouvrir la portière à Aspen... qui venait tout juste de vomir à l'arrière. « Sérieusement ? » Il grimaça à l'odeur avant d'aider Aspen à se relever. Il dût la tenir pour ne pas qu'elle s'écroule par terre. Une fois au poste, il la posa dans une cellule, avant d'aller s'asseoir au bureau en face. Il était le seul flic de garde ce soir, et il n'y avait aucune autre personne en garde à vue, ils étaient donc seuls dans l'enceinte de l'établissement. « La prochaine fois, tu penseras à moins abuser des cocktails. » dit-il tout en s'installant confortablement, les pieds sur le bureau et commençant à lire le journal. « Je suis une alcoolique non-anonyme. » Le jeune homme se mit alors à rire. « Ah ça, c'est sûr que t'es pas une sobre anonyme hein. » Aspen lui tira la langue et Noah sourit d'un air satisfait. Les heures passèrent, jusqu'à ce que le service du jeune homme se termine. Il se leva alors et enfila sa veste. « Tu pars ? Non, tu peux pas faire ça. » Il s'approcha alors des barreaux en haussant les épaules. « Non seulement je peux, mais en plus je vais le faire. Mon collègue viendra te libérer demain matin. » Sur ce, il lui adressa un clin d'oeil et lui tourna le dos, sans prendre un compte les cris de la jeune femme, qui protestait encore et toujours...

VIIEILLLE PUTE. SALOPE. CONNASSE.
MON DIEUUUUUUUUUUU. JE PENSAIS A LUI. AHAH J'HYPERVENTILE C'EST BEAU T'A ABUSER LA DE ME FAIRE ÇA.
Rebienvenue espèce de traitresse là
EDIT: LE NOM DE FAMILLE TU LE TOUCHE PAS . VAS-Y JE VEUX T'EPOUSER

MON DIEU SE MEC.
re-bienvenue.

RAAH, MERCI A TOUS.

NON MAIS ARRETE JE SUIS TROP CONTENTE MON ESCARGOT GEANT QUE TU PENSAIS A LUI, JE ME SERAIS SENTIE TROP MAL SINON TU M'AS MIS LA PRESSION. Je savais que tu l'aimais. Vas-y, on va faire pleins de bébés.
Et pour le nom de famille, je savais que ça allait te plaire, spéciale casse-dédi t'as vu. La prochaine fois je prendrais Gonzales ou Kardashian. Ou Snails.
Caroline, t'es encore plus hot que moi avec Cooper. On va faire fondre les filles.

On touche pas
j'ai déjà posé ma marque dessus les vilaines

je veux un lien
(re)bienvenue

SI SI SI TU M'AS MIS LA PRESSION LA. Vas-y je suis dégoûtée avec toi avec ta photo à la noix, aaah rien que d'y repenser j'ai envie de vomir. Obligé je le ferais un jour. Oui, je veux bien. Ou genre dans sa cellule de prison.

ELLE A QUOI L'AUTRE ?
Mara.
Mon Polochon, tu as dis "on touche" tu les incites tous.
Merci Diaz.

mais oui je viens de voir comme une grosse débile
donc ON NE TOUCHE PAS

Tu m'as tuée franchement. Genre je suis de la viande et on est au marche "allez, on touche, il est en réduction. " OU A LA FOIRE DE PARIS TIENS.
Copiteuse de quoi ? J'ai pas besoin de te copier, je suis génialissime.
OH MAIS T'AS PAS INTERET A ME MONTRER LA VIDEO HEIN. Et fait gaffe, si tu continues il va l'attacher au lit pendant toute une journée, complètement nue, et il reviendra le soir pour la libérer.

(pour les gens qui ont besoin d'un lien ou quoi, ma boîte mp est ouverte. )

Ba non. J'ai juste eu une idée brillante avec Pauline, alors TG. Puis je suis plus canon que toi alors voilà. On a la classe ou on l'a pas, mais soit pas jalouse.

Comment elle nous a tuer Stan en trente seconde .
NON MAIS JE TE LA MONTRE PAS TU VA VOMIR SINON . Non mais c'est elle qui va l'attacher ouai

MOI JE PROPOSE MON JUNO, ON RENIE MARINE, HEIN ?
Je vois trop Noah attacher Aspen à lui-même comme ça elle peut pas lui échapper et il va la faire chier H24.

C'EST UNE BONNE PROPOSITION .
Je vois bien le genre ouai le gros truc bien relou