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charlie lofgood

❝ tomber amoureuse est un vrai parcours du combattant ❞

NOM: lofgood PRÉNOM: charlie ÂGE: trente et un ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE: trente janvier MÉTIER/ÉTUDES: chanteuse dans un groupe de rock STATUT: en couple TRAITS DE CARACTÈRE: méchante - cruelle - sadique - romantique - une peu lunatique parfois - vantarde - aimant faire du mal aux autres, et les ridiculiser. GROUPE: second flor

don't be afraid of tomorrow

►Charlie est une adepte du chocolat, elle ne peut pas passer un jour sans manger du chocolat. Pour garder la ligne, elle est obligée de faire un jogging tout les matins.
►L’œil droit de Charlie ne fonctionne pas bien. Elle est à moitié aveugle. C’est peut-être dû à un disfonctionnement ou encore à une bagarre quand elle était petite.
►Charlie n’aime pas tout ce qui est vert, la salade, les bonbons verts, tout. C’est peut-être à cause de quelque chose de vert qui l’a traumatisé.
►Elle n’aime pas les échecs, elle dit que c’est un jeu pour les geeks, que c’est un jeu trop intellectuel pour elle.
►Charlie déteste les gens de très grande taille. Elle ne supporte pas les gens qui dépassent deux mètre, ils lui font peurs. Surement car son père faisait plus de deux mètre, et qu’il la frappait.
►Charlie aime sa sœur plus que tout au monde, c’est son petit trésor, et rien ni personne ne pourra les séparer. Elles sont toujours fourré ensembles.

in real life:

romance your ego for a while

La partie la moins amusante de la fiche (pour certains) c'est celle-ci. Nous vous demandons un minimum de trente lignes et vous êtes libres de choisir la forme qui vous plait le plus. Vous pouvez y mettre des images, des citations, des musiques, bref, tout ce qui vous plaira.

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«Au fait, je t’ai pas raconté, l’autre jour, j’étais à la bibliothèque, et il y a un mec super canon qui est venu me parler !»Nous faisions le tour des rayons de notre magasin de vêtement favoris. «Ah lala, toi et tes rats de bibliothèque ! Va chercher ailleurs, en boîte, dans les bars, je ne sais pas moi, un endroit plus fou.» Ma meilleure amie dans toute sa splendeur, toujours avec tact. «Sérieusement, il n’a rien à voir avec un « rat de bibliothèque » comme tu peux les appeler ! Il est sexy, drôle et intelligent.» Sans faire attention, je percutais un présentoir de bonbon. Quand je voulu me relever, je me suis appuyée sur la caisse et ai fait tomber une boîte d’élastiques. Sans le voir, j’en fis chuter un dans mon sac. «Tu es obligé de toujours te faire remarquer partout où tu vas ?» Quand je fus relevé, les élastiques remis à leurs places et les bonbons qui étaient tombés par terre payés, nous marchions vers la sortie quand nous passions devant les bornes de sécurité, elles sonnèrent. Je me retournais vers Amanda. «Qu’es-ce que tu as volé encore ?!»«Non mais j’y crois pas, pourquoi ce serais forcément moi ?» Je haussais les épaules. Les vigiles débarquèrent. «Mesdemoiselles, donnez moi vos sacs s’il vous plait.» Quand ils trouvèrent les élastiques, Amanda se tourna vers moi, les yeux écarquillés. «Eh beh c’est bien beau d’accuser les autres quand on est responsable !» Pour moi, ce n’était pas possible, je n’avais rien fais de mal. «Charlie Lofgood, vous allez avoir de gros ennuis !» Je me retournais vers mon amie. «Mais je te jure Amanda, crois-moi, je n’ai rien fait. Ça doit être une erreur !» Mais malheureusement pour moi, le vigile n’avait pas l’air d’être de mon côté. Le responsable du magasin arriva. «Alors comme ça, nous avons une petite voleuse ici ?!» Il était grand, assez musclé et avait environ la cinquantaine. «Monsieur, je vous promets, je n’ai absolument rien volé, ou du moins, pas consciemment.» Je me suis retourné pour voir s’il n’y avait pas de témoin ou même de caméras. Quand j’ai levé la tête, je me rendis compte qu’il y avait une caméra qui était braqué sur l’endroit de ma fameuse chute. «Vous pouvez avoir accès à ces caméras ?» Il acquiesça et nous fait signe d’entrée dans son bureau. J’avais l’impression que le responsable avait envie que je sois coupable car, quand nous avons visionné les vidéos prouvant mon innocence, il a poussé un grognement, comme qu’il était très déçu. Il nous laissa repartir ensuite sans dommages. «Je pense Charlie, que l’on va devoir changer de boutique favorite !»

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« J’ai faim, on peut pas passer acheter un petit quelque chose. » Ce jour ci, je sortais avec mon ex-petit-ami. Nous étions en direction du lycée. Nous étions très en avance. Ce matin-là, je n’ai pas eu le temps de déjeuner. « Charlie, tu sais que je t’aime, mais tu es une goinfre ! » Une curieuse odeur de pâtisserie m’attira vers une boulangerie du coin. On rentra dans ce paradis de sucrerie quand je fus irrémédiablement attirée vers le dernier croissant. « Pitié que cette vieille peau de devant ne vas pas me le prendre. » Le croissant est ma pâtisserie préférée et je ne laisserais pas une vieille mégère me piquer ce dont j’ai envie. « Char, calme-toi, il y a bien d’autre chose, tu veux pas un pain au chocolat ? » Je venais de l’entendre demander le dernier croissant. Il fallait que j’élabore un plan pour qu’elle prenne autre chose. « Non, je ne veux pas prendre autre, chose j’ai envie de prendre un croissant, et je ne partirais pas de cette boulangerie avant d’avoir mon croissant ! Je vaincrais ! » Que pouvais-je faire ? Oh, je sais, je pourrais lui faire un croche-pied, elle ferait tomber le croissant, et je pourrais ensuite le récupérer et partir en courant. Ou je pourrais tout simplement lui demander si elle ne voudrait pas me le céder. « Si elle ne veut pas me le laisser, quand je te dis de courir cours ok ? » Vu sa tête, il n’avait pas l’air d’avoir confiance en mon plan. « Charlie, je sais pas ce que tu veux faire, mais ne le fais pas. Je sens que tu va faire une bêtise. C’est bon, on va dans une autre boulangerie et tu auras ton croissant. » Je ne voulais pas un autre croissant, je voulais celui-là. « Excusez-moi, vous accepteriez de me céder ce croissant s’il vous plait ? » Je lui ais fais mon plus grand sourire. Mais ce n’était pas assez. « Désolé mademoiselle, mais vous aviez cas arriver plus tôt. »Cette vieille garce n’a pas voulu me le donner. « Mais s’il vous plait, ma mère est à l’hôpital, et c’est tout ce dont elle a envie. »Tout d’un coup, mon sourire disparu et je commençais à faire semblant de pleurer. « Je suis désolé mais, j’ai vraiment très faim. »Dans ce cas, elle va le regretter. Quand elle était en direction de sortir, je mis discrètement mon pied devant les siens. Quand elle s’écrasa au sol, elle fit tomber le sachet avec le croissant dedans, je le pris, me mis à courir et cria. « COUUUUUUUURS ! » Mon ex-copain se mit à courir, je voyais à sa tête qu’il trouvais ce plan idiot. La vieille mégère se releva, me courra après en criant. « Nan mais ça va pas grosse folle, rendez moi mon croissant ! » A ce que je voyais, elle boitait. « Charlie, tu vas avoir de gros problème, tout ça à cause d’un croissant, tu abuse Char. » Arrivé au lycée, nous faisions comme si de rien était. Deux jours après, la police me convoqua, et deux moi après, je suis passée au tribunal pour violence et pour vol. J’ai récoltée 200 euros d’amande, et un mois de prison avec sursis. Quand je repense à cet incident, ça me fait rire.

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Nous étions tranquillement dans le jacuzzi des ses parents quand tout d’un coup, j’eu un envie me traversant l’esprit. J’avais envie de me marier avec l’homme que j’aime. Ça faisait déjà un an que nous étions ensembles, et je dois avouer que je suis dingue de ce type. « Chérie, cap ou pas cap de se marie ? » Ce cap ou pas cap commençait à prendre le contrôle de ma vie. J’en parlais tout le temps, c’était devenu ma vie. Je savais que ce n’était pas vraiment l’avis de Riley. Il n’aimait pas vraiment ce jeu parce que justement, je commençais à ne plus pensais qu’à ça. Je savais que je devais arrêter pour pouvoir garder mon couple intacte, mais j’avais besoin de ce jeu pour pouvoir garder les pieds sur terre. Il me regarda avec des yeux ronds, comme si j’étais folle. « Charlie, tu rigole ou quoi, le mariage, ce n’est pas un jeu ! » Il avait en quelque sorte raison, mais je ne voulais pas me marier avec lui pour le jeu, mais pour l’amour que j’éprouvais pour lui. Je l’aimais de tout mon cœur et je voulais qu’il le sache aussi. « Mais ce n’est pas un jeu pour moi, je t’aime et je veux rester à tes côté jusqu’à la fin de ma vie, s’il te plait » C’était la seule chose que je pouvais lui dire pour qu’il comprenne que je l’aimais vraiment, et que ce n’étais pas un jeu. Il n’avait pas l’air du même avis que ma conscience. Je voulais devenir madame Stone. J’avais l’impression qu’il ne voulait pas se marier avec moi. Ça me vexait un peu. « Non Charlie, je ne suis pas prêt pour un mariage, on peut pas attendre un peu ? » Moi, je ne voulais pas attendre, je voulais lui prouver mon amour dans une magnifique robe blanche. Mais je savais que si je tenais à mon couple, je devais respecter son choix. J’acceptais donc, mais en lui disant que ce sera quand il voudra, quand il sera prêt. « Si tu veux, mais sache que je t’aime, et quand tu seras prêt, je le serais aussi. »

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Moi et ma sœur, nous sommes comme les deux doigts de la main, on se partage tout enfin presque, je suis tellement empotée qu’elle ne me prête pas souvent des choses. « Aller Roksana, laisse moi t’emprunter ta robe, elle est magnifique, s’il te plait. » Elle s’habille vraiment comme une princesse. C’est la seule personne que je connaisse qui y arrive, même avec peu de moyen. Quand nous étions jeunes, ma sœur et moi habitions sur notre lieu de naissance, à Moscou. Nos parents noue battaient alors quand j’avais dix-huit ans, j’ai décidé de m’enfuir. Je ne pouvais pas laisser ma petite sœur se faire battre alors je l’ai emmené avec moi. Quand nous sommes arrivées ici, à Liverpool, c’est mon petit ami, qui ne l’était pas à l’époque, qui nous a recueillis. Nous avons ensuite eu des problèmes financiers, mais nous avons toujours réussis à nous débrouiller. C’est ce qui fait notre force, nous n’abandonnons jamais. « Non Charlie, c’est ma robe préférée tu va l’abimer, vu comme tu es douée ! » C’était vexant. Véridique, mais vexant. Roksana a le don pour vexer les gens facilement. Elle ne s’en rend pas compte. Elle tient beaucoup à ses affaires. « Oh beh c’est sympa merci. S’il te plait, je te jure que j’y ferais attention comme à la prunelle de mes yeux. » Je dis toujours ça et à la fin, je bousille ses affaires. Elle devrait le savoir maintenant. Je suis la seule à pouvoir la faire changer d’avis. « Roo, d’accords ! Heureusement pour toi que l’on fasse la même taille. » Je suis allée à ma soirée. Comme prévus, j’avais bousillé sa robe. Je ne savais pas comment le lui dire alors j’ai laissé un mot sur sa robe. Il y avait marqué : je suis désolé. J’étais en train de dormir quand elle franchit ma porte telle une furie. « CHARLIIIIIIIIIIE, qu’es-ce que tu as fais avec ma robe ?! » J’étais à moitié réveillée, je n’avais qu’une envie, c’était de me rendormir et de recommencer mon super rêve. Je savais qu’elle allait me réveiller brutalement, mais pas à ce point là. J’essayais de coller les mots les uns à la suite des autres. « Je … je suis désolé, ils ont fais une bataille de nourriture, j’ai bien essayé de m’enfuir, mais je n’ai pas réussis à temps. Je te promets de t’en acheter une autre. » Je mentais et elle le savait pertinemment. Je parti en direction de la salle de bain pour voir ma tête. Elle me suivit bien entendu en espérant une autre réponse. Je la regardais et on a éclaté de rire en même temps. Avec un ton amusant, elle m’excusa. « Je te rappel que tu es sensée être la plus grande donc, la plus responsable. »

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Avec ma sœur, nous nous sommes toujours lancé des défis tous plus loufoques les uns que les autres. Quand nous étions petites, c’était la seule chose qui arrivait à nous remonter le morale. En grandissant, nous avons gardé cette tradition. Nous étions chez une amie, quand elle me relança un défi idiot. « Charlie, cap ou pas cap de sauter dans la piscine toute habillée ? » Elle savait très bien que j’en étais capable. En dix-huit ans, je n’ai jamais refusé un défi. Avec ma sœur, nous avons une règle. Nous nous lançons que des défis où nous savons que nous ne craignons rien. Celui-ci, c’était sur que je ne risquais rien, à part peut-être de perdre une amie, c’est tout. « Bien sur, tu me prend pour qui ? » Je suis sautée dans la piscine toute habillé. J’ai fais quelque largeur et je suis retournée auprès ma sœur. Quand mon amie est sortie pour nous proposer à boire, elle écarquilla les yeux. Quand elle nous vit éclater de rire, elle comprit tout de suite que c’était encore notre jeu, stupide certes, mais très amusant. Nous étions cote à cote, on regardait Elisa sans un mot. Sans me regardais elle me posa une question qui me donna envie de la jeter dans la piscine à son tour. « Elle était bonne ? » En vérité, elle était très froide vu qu’on était en hiver, mais je ne voulais pas lui faire ce plaisir. Je lui mentais, et elle ne s’en rendit même pas compte. « Plutôt oui ! » J’étais trempé, l’eau dégoulinait de mes cheveux. Je la pris dans mes bras, m’approcha de la piscine et la balança dedans. Elle cria. Quand elle sortit, elle se remit dans la même position qu’avant, elle était heureuse, et ça se voyais. « Tu m'a mentis ! »

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Aujourd’hui, on a décidé de faire un truc tellement idiot que ça en est dangereux si on se fait prendre. Il fallait espérer qu’on ne se fasse pas prendre. On cherchait de idée pour ce cap ou pas cap quand soudain, Rok en eu une. « Cap ou pas cap de rentrer dans la piscine municipale cette nuit ? » Je ne savais pas quoi dire, je ne voulais pas que ma petite sœur ai des ennuies. Mais ça pouvait être bien marrant. « D’accords, si on le fait toute les deux ! » En disant ça, je savais que je prenais des risques, mais je voulais quand même tenter. Je savais qu’elle allait accepter, elle est tellement prévisible. « C’est d’accords. » Quand la nuit tomba, comme prévu, nous sommes partis en direction de la piscine municipale. Il y avait de grande barrière quasiment infranchissable. Nous pouvions le fait. Comme on dit, l’union fait la force, c’est notre devise. Nous étions déjà mortes de rire. Nous savions pourtant que si nous ne voulions pas nous faire prendre, il fallait être discrètes. Mais nous, on ne connaît pas ce mot. « CHUUUTT, faut pas qu’on nous entende » On riait de plus en plus fort, mais ça n’avait pas l’air d’inquiéter qui que ce soit dans la ville. Après plusieurs essaie pour passer de l’autre côté de la barrière, nous arrivions à la même conclusion. «On va jamais arriver à franchir les barrières » Après cette phrase j’entendis un gros bruit. J’en ai conclu qu’elle avait réussis. Maintenant, il fallait que moi je passe de l’autre côté. Et ça, ce n’était pas gagné. J’ai pris mon élan. Je ne voyais plus rien et quand je recouvris les yeux je vis Roksana affolée. Toujours avec humour, je la rassurée. « Ah beh si, on a réussis ! » Je me relevais et Roksana me posa une question qui n’avait pas de sens à mon gout. « On va se baigner ? » Si on est dans une piscine, c’est pour faire quoi à ton avis ? « Oh que oui, tu viens on saute »Peu après avoir sauté, je me rendis compte que nous avions fait un bruit fou en plongeant. Rok ne s’en était pas rendu compte de toute évidence. « Oh mon dieu qu’elle est bonne. » J’étais tout à fait d’accords avec elle sur ce point. Nous faisions quelque longueur quand soudain, nous avons entendu une sirène de voiture de police. Sans attendre, j’ai dis à Rok de sortir et de partir. « Oh merde, Roksana, vite vite vite, sors de l’eau, on se casse ! » On a réussis à échapper aux policiers. Notre première escapade dangereuse à bien été marante je dois bien l’avouer.

Bienvenue, mais je crois que tu veux dire BARRES DE FER x)

merci, mais c'est bien comme ça que ça s'écrit

deux barres de faire? ... ce doit être une expression française alors Suspect

non, c'est un sketch

aahhh je vois What a Face

bienvenue
katty perry et un excellent choix et puis j'aime bien ton gif de présentation

BIENVENUE
Katie est trop magnifique gosh

cette fille, elle est juste bed

bienvenue

KATY
Bienvenue parmi nous

merci à vous tous

la robe de Katy sur ton avatar
BIENVENUE

Diaz L. Mitchell a écrit:: la robe de Katy sur ton avatar

+1
Bienvenue!

MAIS OUI CEST LA BARRE DE FAIRE.... D'LA GYMNASTIQUE!
l'humour à la con, c'est bien pour moi.
Bienvenue parmi nous avec la trop belle, trop sensooooouelle Katy. Et avec un putain de nullissime avatarquidatetropdematuzalem

Bienvenue !

la barre de faire ... d'la gymnastique, la barre de faire, des exercices ! c'est la barre de faire tout ce sketch me tue merci à toi, sexy brody [i]