(over) you can call a demon, imma call jesus

Le désastre. La tragédie. Le mélodrame ! Mais où est la maîtresse ? Oui, même à neuf ans les petits garçons se trouvent obsédés par leurs maîtresses. Bien sûr, pas pour les mêmes raisons qu'un étudiant en fac qui fantasme secrètement sur sa prof de philo, quoique. Évidemment, je n'étais pas exception, moi Bhowy Harryson, fils du Harryson vendeur de chaussettes et de...d'une femme, une garce qui s'est barrée avant que je n'ai le temps de voir sa face. Enfin, whatever. Ma maîtresse, c'était toute une histoire. Impossible alors de gober cette nouvelle. Infâme nouvelle. Une remplaçante ? La blague ! Le pire alors, sa voix de crécelle immonde, sa jupe multicolore et sa vieille façon de tremper le monde d'ADN quand elle faisait l'erreur d'approcher sa bouche d'un peu trop près. Le comble fut bien le jour où elle eut subitement décidé de nous réunir, l'autre Oxford, le Knight et moi-même dans son semblant de bureau. N'avait-elle jamais compris qu'entre nous trois il n'y avait qu'une énorme guerre en perspective ? Et c'est pourtant à cet instant-ci qu'elle aurait du avoir un semblant de compréhension. Quand un à un l'on se complétait dans nos justifications, comme si ça paraissait simplement basique et normal, un véritable jeu d'enfants. On se haïssait, c'était physique, ça datait de toujours, mais à trois...il se passait un truc, disons. Garce, dans tous les cas. On l'avait récuré, son mur. Ca ne serait cependant pas sans vengeance, je pense qu'elle ne l'avait malheureusement pas saisi. La pauvre, quand même.

Le coup des rats. On peut penser à un classique, oui. Et pourtant pas. Il l'aurait été oui, si l'opération n'avait pas été lancée par nous trois. Tout était réfléchi, toute l'action avait été mesurée, sous tous les angles. Neuf ans, on avait neuf ans, et c'est comme si déjà nous savions tout de la vie. Sans déconner. Trois pseudos pourraves. Le miens, en particulier. Je sais pas, la fouine, où m'avaient-ils trouvé ça ces deux-là ? Tant pis. Quoique, j'avais quand même bien tenté de me battre, mais non, la fouine restait. Pas le temps de me démener pour obtenir un nom potable. Les rats dans ce sac n'en pouvaient déjà plus. Nous non plus. On dit que l'esprit de vengeance est grand, que l'esprit d'un vaincu est plus à soif d'une nouvelle guerre que l'esprit d'un vainqueur. C'est un peu de cette façon que l'on voyait les choses, planqués dans des lieux divers et variés de la micro résidence de la vieille. Micro résidence, c'est en effet de cette façon-ci que je qualifiais les habitations qui représentaient un quart d'un quart de là où je vivais. Je divague. Chacun à notre poste, nous nous tenions prêts. Moi, plus à fuir qu'autre chose, mon cerveau avait fusé à la création du projet, autant faire fondre les autres pour la pratique. Siméon le mexicano, pris possession de l'attention que la gourde prêtait à on ne sait trop quoi auparavant. Ainsi, les rats firent leur entrée. Et c'est après ça que le téléphone fut raccroché, le sac aux rats refermés, et que l'on se rejoignait en courant comme des petits fous pour s'offrir un lointain observatoire de la scène. On gloussait. On gloussait du coup tordu que l'on venait de lui faire oui, de ses jambes qui sautillaient pour probablement éviter d'entrer en contact avec l'une des bestioles. Le moins que l'on pouvait dire, cependant, c'est qu'elle l'avait cherché.

Siméon, Maxares et Bhowy. Une association complètement mémorable, je vous le promets. Et d'ailleurs, big up m'dame la remplaçante ! Si elle est toujours vivante cela dit...

Grand jour, jour J, nommez this day comme vous le souhaitez. C'était ce jour-là que le DJ et moi prenions l'avion de papa l'vendeur d'huile d'olives pour allez rejoindre le mouton aux States. Parce-que oui, les papounets chefs d'entreprises ont des avions. Les négociations se jouaient depuis un grand nombre de jours maintenant, mais étant donné que nous tombions dans ce que les gens aiment appeler « majorité » les pauvres daddies n'avaient plus trop le choix. J'étais complètement mort d'une soirée passée la veille, j'avais mal au crâne, une bonne hangover qui déchire bien. Et j'étais pieuté, encore, téléphone en mains, le drap à moitié viré sur le côté. Je lisais les piètres messages que j'avais pu recevoir de gazelles à qui j'avais malencontreusement donné mon numéro en étant déchiré, ou qui avaient abusé de moi pour l'avoir, peu importe, ça revenait un peu près au même. J'avais nettement l'impression que toutes leurs phrases se répétaient, pauvres filles. Quoique, ce n'était pas leur faute. Le plus humoristique, c'était celles qui se décrivaient par leurs couleurs de cheveux. A savoir que j'ai un peu près rencontré une trentaine de filles hier, et que des blondes, des rousses ou des brunes j'en avais accostées pas mal. Bref, de toutes façons, ce n'est pas comme si je comptais un jour leur répondre. Puis, parmi mes quelques invitations à chevaucher, mon dieu de l'herbe.

- Salut, Bhowy. Je sais pas si tu te souviens de moi, je suis la brune d'hier soir...bon bouges ton cul espèce de gay, on va raté le décollage du jet au vieux ! T'façons nan, bouges pas, j'arrive !

Une lettre pleine de douceur et de sensualité, oui. Je regardais autour de moi, dans ma chambre. Chacun des meubles étaient vides. Il y avait des cartons par dizaines. Et il y avait aussi...KATHERINE ! Oh fuck !

« Bonjour Bhowy. » exaspérante. EXASPÉRANTE, sachez-le bien. « Ouais tranquille vieille, je peux t'aider ? » Faire le mec complètement détendu, alors que pas du tout. En réalité, elle me perturbait ma...cette...la femme de mon père. Oui parce-que oui, elle est rousse, elle a comme quinze ans de moins que mon géniteur, un peu près quinze ans de plus que moi, et apparemment elle n'arrive pas à se décider alors elle abuse des deux, disons. En gros, vivre ici, pour elle, c'est le paradis. Elle baise mon père, et elle fantasme sur son fils. La grosse tarée quand même. « Tu pars bientôt, alors je venais te voir pour la dernière fois. » Yo, ouais mortel ! Au début, il faut quand même savoir que cette Katherine, je l'aimais bien. Non, sérieux. J'ai jamais rien connu de mon côté maternel. Sortez les violons. Je ne sais même pas si je lui ressemble à ma foutue mother, ou même comment elle s'appelle. Alors, j'imagine que quand j'étais gamin, ou un peu plus petit disons, l'avoir c'était un peu comme avoir une pseudo-maman cool. Au début, parce-que bizarrement depuis qu'elle me mate dès qu'elle a l'occasion de me croiser en calbut, on va dire que j'ai un peu plus de mal à la considérer comme une maman cool...« Ah...oui, je vois. Bien, c'est gentil, euh, Katherine d'être venue mais tu sais, je...» Merde, qu'est-ce qu'elle branle. Elle se lève. Han yes, vas-y, barres-toi ! Hein, quoi ? Beh, à la one again, meuf, viens sur les draps aussi, je t'en voudrais pas meuf, franchement. « Bhowy, ne pars pas. » Je me demandais combien de film porno elle avait pu regarder pour oser se pencher sur moi comme ça, en utilisant cette voix de femelle en manque, la grosse MILF. « Si, si, franchement, je pars. » Même pas une pauvre lueur de déception sur son visage, uniquement ce sourire flippant. Le truc, c'est qu'il faut aussi imaginer qu'elle doit être comme ça avec mon vieux, ça, I swear, c'est le most dégueulasse. Je m'enfonce bien au fond de mon lit. Elle a beau grave me dégoûter, comment un mec pourrait n'avoir aucunes réactions quand...non, putain Bhowy. « Oh...» Oh ? Lolilol. Non mais ça va pas bien ma pauvre. Malgré son tailleur de femme d'affaires -qu'elle n'est pas étant donné qu'elle se contente de ponctionner dans le compte en banque du paternel- elle arrive à me passer dessus à califourchon. C'était un peu comme rêver éveillé. Enfin, rêver éveillé dans le contexte de Freddy Krueger, en un cauchemar, en gros. « Qu'est-ce que tu glandes ! » Je sens mes joues chauffer, et je m'auto-exaspère. Ta belle-mère gros ! Penses à un truc glauque, pense à la soeur du Oxford, pense à l'odeur des pieds du Knight ! J'ouvre les yeux en grand quand ses lèvres atteignent les miennes. La vache. J'ai l'impression d'embrasser mon vieux, c'est même pas agréable, c'est juste frustrant et moche. Elle par contre, elle a l'air de trouver ça jouissif. Je parie qu'elle en crevait depuis le jour où j'ai passé la puberté. Dire qu'avant on faisait du coloriage ensemble et qu'elle venait me chercher à l'école. Promis, je me fais un bain de bouche une fois qu'elle me lâche. Pire, j'en ferai même trois. Au moins pour faire disparaître le goût tout pourri de son rouge à lèvres, aux fruits exotiques peut-être bien. L'un de ses mains glisse sur mon torse, nu, pour bien faire, et elle la ramène contre sa poitrine avant de commencer à détacher quelques vulgaires boutons de sa chemise. Oh meuf, calmes ta joie ! Jésus H. Christ ! Je la pousse alors en entendant des bruits. Vu la voix qui résonne dans les couloirs, c'est Maxares. Putain sauvé par le gong ! Je me lève d'une traite, la tire par le bras de façon à ce qu'elle se retrouve debout elle aussi et m'empresse d'ouvrir la porte de la piaule, en lui faisant signe de sortir. « Cool Kath, sérieux, ouais moi aussi je t'enverrai des cartes postales. Ca m'a fait plaisir de te voir, bye ! » Tant pis si elle est à moitié débraillée, elle n'aura qu'à prétexter avoir eu trop chaud. Je lui fais un sourire complètement hypocrite, et mon homme -oui oui, j'ai bien dit mon homme, mais on finit par s'y faire, je vous jure- la croise en la dévisageant complètement. On peut pas franchement dire que mes potes soient réellement compatissant envers mon problème de belle-mère cougar. A la place ils préfèrent fantasmer sur elle ou m'encourager à la sauter. N'importe quoi. De la hauteur de la porte, je les regarde faire. Elle s'arrête vers lui, passe sa main contre sa joue et lui dépose un pauvre baiser au coin des lèvres. Putain de chaudasse. Maxares, il la mate, allant jusqu'à s'autoriser à la siffler et se retourner pour observer son fessier bien visible avec son tailleur bien serré. « Ramènes-toi pauvre con. » C'est mon truc aujourd'hui, je lui attrape le bras brutalement, lui arrachant un râlement, avant de le traîner jusqu'à mon entre pleine de cartons.

« Bon, tu vas te décider à me dire ce qu'il s'est passé ou je dois d'abord te violer pour savoir ? » Je le regarde en levant les yeux au plafond, et il jette un pauvre « ok » avant de commencer à descendre sa braguette. Abruti. « Ranges ton furet, elle a juste fait ce dont elle crève d'envie depuis que j'ai eu mon premier poil pubien. » Il rit, ce triple-con. « Sérieux, il est comment son musée ? Putain, faut que je dise ça à Simé, mec, c'est du scoop ça ! » J'attrape son portable, entre deux de ses pouffements, et le balance sur mon lit ce qui me vaut un wonderful regard noir de sa part. Whatever, man, tu l'as cherché. Et puis ouais, je suis pas fier. Mais il le sait, imaginons que c'est pour cette raison qu'il continue à me faire chier avec Katherine, enfin bon. « Je lui ai même foutu des doigts en lui faisant crier ton prénom, t'aurais du voir. Non, sérieusement, c'est dégueulasse. J'étais au pieu et elle est juste venue m'y rejoindre en pensant qu'elle pourrait se faire tringler. Résultat, j'ai été victime d'un viol buccal. » Une fois de plus il se pisse dessus. Je fini de foutres deux trois trucs dans un carton encore ouvert, et le regarde. De sa poche il tire sa petite herbe magique et le restant de ses outils. Comme instinctivement, je coince la porte avec une chaise et ouvre la fenêtre. Pauvrement, on s'assied par terre, sur mon vieux parquet marron, et on se partage alors le joint qui venait d'être fraîchement préparé. Il me raconte sa vie, j'en fais de même. En réalité on converse plus sérieusement sur les nanas que l'ont s'est faites hier. J'en compte deux, une au petit-déj et une quand j'avais la tête surchargée de vodka ou de je ne sais trop quoi d'autre, de son côté, il me déçoit, il n'a que tringlé une copine de sa sista. Novice. Non en fait, c'est pas de sa faute en soit. J'ai toujours été le plus demandé des trois. Triste vie. Je sais pas, je dois avoir une bonne tête, en fait. Bref. La fumée envie une dernière fois mes poumons et je me relève en entendant du bruit. Ca c'est mauvais signe. Pas que Katherine pourrait éventuellement venir en tentant de se faire prendre entre nos deux corps de jeunes Anglais bandants, mais, étant donné les voix pourries, ça sent les petites cousines, et toute la mifa pour un bref adieu. Maxares me parle toujours, enfin, parle toujours avec les murs tout du moins, et je le coupe brutalement. « Ok, la ferme, et on part, maintenant ! » J'attrape ma veste, que j'enfile et décoince la porte. J'attends, et me rends compte que l'autre vieux n'a pas changé de position. « Bouges toi ! » Le pauvre, il n'a pas encore compris l'étendue de la chose. Les cousines, c'est la mort, la mort, la death, l'enfer, l'horreur. Et c'est ainsi que, comme deux pouilleux, nous nous barrions.

Au revoir, ô fucking London ! Ou comment tromper sa ville natale pour la Californie.

Emménager loin de mon père et de son industrie Harrysonienne fut certainement la plus belle chose qui me soit arrivée. Enfin, emménager loin de Katherine, surtout, fut certainement la meilleure chose que j'ai jamais faite. Je pensais d'ailleurs, en bougeant jusqu'à Sacramento, ne plus avoir de problèmes avec aucunes femelles. Je pensais juste que j'aurai l'occasion de dépasser les excès de vitesse sur la route du cul, mais bien sûr, ça aurait été trop simple. Que suis-je bête, tout de même. Vous fréquentez de nouveaux endroits, vous fréquentez de nouveaux gens aussi, et les Américaines sont vraiment loin d'être immondes. Admettons-le. Et c'est sans parler, précisément, des minettes qui vivaient l'immeuble de Sacramento. Un peu comme notre gang de BGs calbut, comme il nous plaisait d'être nommés ainsi, aux States, dans notre bâtiment, vivaient les A&A. Apölyne et Aphrodite. Aphrodite, déesse de l'amour ? Faites moi rire...perso, j'aurais plutôt tendance à l'appeler déesse du pétage de couilles. Enfin. Ces deux-là, elles étaient un peu comme le nous au féminin, dans un effectif réduit d'un membre. On a commencé par un genre de rivalité, et finalement elles sont un peu devenues comme des quasi-alliés. Dans le domaine équestre, Apölyne et Siméon prenaient des cours d'équitation ensemble. Maxares...j'en sais rien de ce que Max foutait. Et moi, comme un con, j'ai flashé. Il en fallait au moins un. Je suis supposé être le plus réfléchi de nous trois, pour le coup j'ai été le plus abruti. Alors, Bhowy et Aphrodite. Aphrodite et Bhowy. C'est devenu n'importe quoi. Le sujet qui fâche, autant de son côté que du miens. Parce-que j'ai lâché ce que j'avais, et elle, m'a envoyé promener. Voyez la brune qui emmerde l'autre pour taper une crise de jalousie quand celui-ci partage son lit avec une dénommée Madness. Pauvre d'elle. Pauvre de lui. Du n'importe quoi, je pense que c'est le cas de le dire. Pas la peine de préciser, ainsi, que de ce côté là, rien n'avance. Et ça jouera longtemps encore au chat et à la souris, c'est certain. Bref. Je me ferai mal en ré-admettant que je l'aime un peu plus que je ne le devrai. Et je crois qu'elle le sait, elle aussi, suffisamment. A moins que mes quelques crises de jalousie ne lui aient pas encore fait prendre conscience de l'ampleur des choses. Pas comme si je m'étais plusieurs fois retrouvé à chercher la merde avec d'autres mecs parce-qu'elle trouvait mieux de traîner avec des motards toxicos. Soit, tant pis pour ma poire. Sérieusement, cette nana, cette putain de fucking nana de mes couilles, c'est tout le contraire de son homonyme grec. Encore, j'ai l'espoir que la mythologique Aphrodite ait pu être bien moins entêtée...disons que l'espoir fait vivre.

On ne s'imagine pas que l'immeuble de vos rêves, enfin, que l'immeuble le plus bandant de Sacramento -en tous points de vues- pourrait un jour devenir le pire. Que des vieux et leurs caniches pourraient venir s'y installer pour vous, beh faute d'autres mots, vous jetez dehors. Et finalement...ça arrive. Un pauvre jour. De un, vous apprenez que les A&A ont décampé, wtf ? Faute de thunes, à ce qu'il paraît. Ca apprendra à Aphro à dépenser tout son pognon dans sa poudre de fée comme elle l'appelle. De deux les gens en profitent pour se monter contre vous. Calme les vieux. Du coup, on s'est comme retrouvé avec une pétition sur le dos, mais bon, tant que la concierge n'intervenait pas, tout était bon. Tant que la concierge n'intervenait pas cela dit. Je pensais que Simé se l'était mise dans la poche en traînant à poil dans les couloirs, mais mes couilles, tu parles. Impassible la grosse. Ou lesbienne peut-être. Quand la nouvelle est tombée, on était tous les trois dans à l'appart. On consumait l'art de Maxcouilles avec le mouton, tandis que ce même vieux M. se tapait on ne sait trop qui dans la salle de bain. La sale affaire. Ca disait un truc comme : Vous avez deux semaines pour décamper. De quoi nous faire tousser sur le coup. Et de quoi laisser quelques bleus à l'amie de la queue du Oxford, aussi. J'imagine tout du moins, rien de bien grave, juste une chute du haut du lavabo, d'après ce que j'ai su comprendre. Enfin bref. Pour une fois, nous n'avons levé aucuns révolutions, ou presque. Étonnant, oui je le sais bien. On s'est donc retrouvés comme des autistes avec nos cartons. On aurait bien pu rester en Californie, mais non, trop simple. Alors, pour bien faire, on a suivi les A&A, jusqu'à Brooklyn. Pour bien faire...presque quoi. On va dire qu'à la limite je me serais pas porté plus mal sans la Reynolds dans les parages. Après avoir longtemps discuté à ce sujet tout de même. Siméon voulait partir au Mexique, Maxares en Alaska, moi je me serais fait un plaisir inouï de me casser en Australie, finalement rester aux US n'était pas une mauvaise idée. Passage du Sud-Ouest au Nord-Est, gros décalage par contre oui. Comme j'avais cependant su le dire pour mon arrivée en Sacramento. Bye vieilles filles Californiennes, yellooooo aux New-Yorkaises délurées.

Brooklyn, New-York, promis, on vous les fera tomber vos Gossip Girls. Qui a besoin d'une GG quand les BGs sont dans le quartier ? Personne, ça vous frôle comme une évidence, je sais, moi aussi.