MATHIEU ღ J'suis un rêve ambulant.

mathieu delaunay-bowen

❝ ; quand tes hanches se balancent et que tu t'élances vers moi, je ne résiste pas. ❞

NOM: Delaunay-Bowen. PRÉNOM: Mathieu. ÂGE: vingt-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: vingt septembre 1988, Paris, France. MÉTIER/ÉTUDES: vendeur de CD's dans un shop du coin. STATUT: libre. TRAITS DE CARACTÈRE: sexiste, impulsif, têtu, séducteur, impatient, joueur, possessif, jaloux, menteur, riche, homme à femme, romantique, fumeur, sûr de lui, fêtard, mystérieux, sociable, spontané, honnête. GROUPE: second floor.

don't be afraid of tomorrow

→ il a un fort accent dû à son pays d'origine, mélangé le tout à un léger cheveux sur la langue et vous obtenez un charisme totalement craquant et purement pathétique. Il déteste ça d'ailleurs.
→ il est l'heureux propriétaire de trois poissons : Cléo, Chloé et Cléa. Il aime donner à son bocal un petit surnom qui en dit long sur sa personnalité. « mon harem personnel. »
→ il s'est fait tatoué l'intérieur du bras gauche, l'inscription « life goes on » (la vie continue). Cette inscription représente son départ de la France pour continuer sa vie à New York. A chaque petit coup de blouse, il y jette un coup d’œil pour se rappeler son juste choix. C'est d'ailleurs la seul chose qui le rapporte à sa vie passé et refuse de dire quoi que ce soit à propos de cette marque indélébile.
→ il est un romantique dans l'âme mais refuse de l'avouer. Parce que monsieur porte ses couilles, oui madame !
→ devient particulièrement violent quand on ose lui parler de ses parents ou de sa vie en France.
→ il est l'héritier d'une riche famille française mais a coupé les ponts quand il avait dix-huit ans, depuis, il vit plutôt difficilement et redoute le moment où les Delaunay le retrouveront.
→ est en colocation avec une rousse complètement timbrée qui aime lui foutre en l'air ses plans culs
→ il est incollable sur la culture musicale à force de côtoyer des millions de cds toute la journée. Aucune musique ne peut rester dans l'ombre bien longtemps avec Mathieu dans les parages.
→ aime se balader sans vêtements dans l'appartement et se retrouve souvent dans des situations gênantes à cause de ça.
→ en homme qui se respecte, il est incollable en foot, basket et rugby et n'hésite pas à passer des soirées les pieds sur la table et une bière à la main.
→ il fait souvent des footings dans Central Park pour entretenir son corps d'athlète, c'est d'ailleurs un fervent adepte du fitness.

romance your ego for a while

Bébé éprouvette. Il avait sept ans quand cette insulte a commencée à fuser dans la cours de récréation. Il n'avait franchement aucune idée de ce que ces mots à la tournure étrange pouvaient signifier. Et il s'en fichait. Mais ils continuaient. Embêter le petit garçon du fond de la classe côté fenêtre, c'était cool. Et le caïd qui avait redoublé deux fois, il aimait ça. Voir souffrir les petits derniers, ceux dont les filles ne voulaient pas. Lui, il la trouvait belle Julie. Mais elle était amoureuse du caïd et Mathieu et son poids plume n'avaient pas fière allure. Qui voudrait d'un bébé éprouvette d'ailleurs. Le petit garçon s'était bien vite résigner à la regarder de loin, elle et ses cheveux blonds. Il aurait bien voulu savoir ce que c'était d'être un bébé éprouvette, pour pouvoir changer cette étiquette qui lui collait à la peau. En vérité, Mathieu s'était pas un garçon comme les autres. Papa et maman, ils voulaient pas faire l'amour pour le concevoir. Alors ses premiers jours de vie, il les avait vécu dans une petite boite où les spermatozoïdes de papa avaient rencontré les ovules de mamans. Et puis le tout avait fini dans le ventre d'une autre maman. Rien de bien romantique. Il ne s'en était pas rendu compte. Jusqu'à qu'un soir, il se rende vers sa mère, les yeux embués de larmes. On l'avait encore insulté. Julie lui avait lancé ce regard dégouté et ses deux mots avaient une fois de plus été répétés. « Maman, pourquoi j'suis un bébé éprouvette ? » Madame Delaunay avait plongé ses yeux dans ceux de son fils, un regard presque compatissant emplissant ses pupilles. Elle avait bu une gorgée de son whisky et d'une main avait ébouriffé les cheveux de son fils. Un léger rire l'avait secouée et d'un ton presque détaché, avait répondu. « parce que nous voulions pas réellement de toi mon chéri. » Sa bouche décorée d'un rouge à lèvre Chanel à trente euros s'était déposée sur la joue de son fils, laissant une marque indélébile. Non seulement sur sa joue qu'il allait devoir gratter pour enlever cette calamité que les filles aimaient porter mais aussi dans son cœur qui venait d'être brisé en milles morceaux. Ce n'était pas l'amour d'une fille qui l'avait dévasté, comme dans toutes les histoires, non, c'était l'amour de ses parents et ça, il ne pourrait jamais rien y faire. Alors autant foutre la merde dans sa famille jusqu'au bout. En commençant par faire de leur héritier, la pire chose à laquelle ils auraient pu penser.

La pièce était enfumée. Les quatre jeunes assis en rond s'amusait à crapoter cette fumée de cigarette, les discutions vaquant entre Sophie, la blonde devenue trop sexy et Mathilde la brune à la poitrine comme des melons. Le plus jeune d'entre eux était Mathieu : quatorze ans, les cheveux bruns et cet air légèrement hautain affiché sur la tronche. C'était lui qui avait amené cette cigarette dans leur cabane au fond du jardin. Volée à son père la veille au soir, il l'avait trimbalée le plus délicatement possible toute la journée dans le but de se la jouer devant sa bande de copains. Pari réussis, les yeux de la petite bande brillait à l'approche de cette bombe à retardement. Autours d'eux, quelques jouets éparpillés sur le vieux sol en bois leurs rappelait leur enfance envolées, leur enfance désormais dévastée par cette envie toujours plus grande de devenir grands. Mathieu n'avait pas toujours été le leader de la bande, il était passé par la case looser, puis à celle d'homme lorsque pour la première fois, il avait couché avec Sophie. Il ne savait toujours pas la raison qu'avait poussé la jolie blonde à venir squatter son lit, mais une chose était sûr, c'était ce qui l'avait fait décollé dans l'estime de cette vieille école du cinquième arrondissement. On lui demandait les détails et il aimait désormais affiché cet air blasé de l'adulte précoce trop sollicité. Mathieu, c'était le seul qui réussissait à faire rentrer la fumée dans ses poumons sans tousser, c'était aussi le seul qui pouvait piocher dans la réserve d'alcool de sa mère sans qu'elle ne s'en rende compte. Mathieu, c'était aussi le seul qui avait une réel vie de merde. Un père fumeur de cannabis et une mère alcoolique. Un cliché comme un autre. Mais il aurait mille fois préféré ne pas vivre ça. C'était pas si top que ça, et toutes les cigarettes du monde volée à son papa n'y ferait rien. Il détestait sa vie de petit gosse de riche né d'une famille déchirée aux besoins d'un digne héritier. Il détestait ce poids perpétuelle qui se posait sur ses épaules, il détestait devoir jouer un personnage comme dans ces pièces de théâtre qu'il allait voir avec l'école. Lui, il se voyait pilote d'avion, à voyager dans le monde entier, sans se retourner, sans attaches et applaudit à chaque atterrissement réussi. Il se voyait changé, beau et demandé. Et pendant qu'il rêvait sa vie de rêve, son portable avait sonné. Une grimace essuyée lorsque le prénom de sa mère s'était affiché. C'était jamais bon quand à une heure du matin, il était appelé par ses parents. L'air sûr de lui, il avait lancé un clin d'œil à ses amis et s'était éloigné de l'agitation, les yeux rougis à cause de la fumée. L'air frais lui faisait du bien et doucement, il s'était laissé glissé contre la parois de bois. « on déménage Mathieu, rentres à la maison tout de suite. » Sa gorge s'était serrée et sa main s'était crispée autours du téléphone. Il avait tenté d'articuler un mot, une phrase, mais aucun son n'avait décidé de sortir. Et puis le téléphone avait coupé, les bip se suivaient et Mathieu était incapable de faire quoi que ce soit. Retourner dire au revoir à ses amis, s'en aller sans se retourner. Les jambes faibles, il s'était relevé, et dans l'obscurité de la nuit, était parti. Rejoignant la maison obscure de son enfance.

Ses points s'étaient serrés, une larme de rage coulant le long de sa joue. Il avait vécu dix-huit ans sans broncher, la tête haute et les épaules droites. Vivant au rythme d'une famille aux allures aristocratiques et à la mentalité de président. Il avait vu le jour pour une simple raison d'argent et rien que d'y repenser, un frisson lui avait parcouru l'échine. Il les détestait et appartenir à cette longue lignée lui donnait un goût de gerbe. Il attrapait ses habits par poignée, les balançant dans une vieille valise trouvée dans le grenier. Parce que oui, chez les Delaunay, les affaires on ne s'en occupait pas. On achetait et puis on laissait. Sa mère tambourinait contre la porte de bois qui menaçait de craquer sous la force de ses poings. Son père criait à qui voulait l'entendre qu'il refusait de voir partir son fils unique et Mathieu laissait échapper de grands souffles. D'une main tremblante, il avait attrapé son appareil pour l'asthme et en avait tiré une grande bouffée. L'hypocrisie, s'en était fini pour lui, il allait enfin vivre la vie qu'il avait voulu et vivre l'American Dream. Il n'avait jamais cessé de déménager depuis ses quatorze ans et les quelques attaches qui lui restait pouvaient bien être sacrifiée pour son bonheur personnel. Le jeune homme avait lancé un regard vers l'affiche représentant New York. A force de se faire balader dans toute la France, la photo avait jaunie et la femme à poil en premier plan avait perdu toute trace de visage. Il avait sourit et d'un geste brusque avait fermé sa valise. Son billet dans la poche, son cœur revigoré d'oxygène, il se sentait enfin prêt à sortir de la pièce pour affronter les insultes de ses parents. La main tremblante, il avait appuyé sur la poignée et tourné la clé. Il était tombé nez à nez avec le visage déchiré de sa mère et se redressant, il était passé droit. « MATHIEU ! Reviens ici s'pèce de con, tu vas où ? Tu vas me le dire, oui ?! » Le jeune homme s'était retourné et avait froncé les sourcils. « J'me casse, les françaises commencent sérieusement à me gonfler, mon lit a besoin d'autre genres. » Il avait déclaré le tout d'une traite et avait reprit sa marche jusqu'à qu'une poigne attrape son bras. Il avait tenté de se détacher, en vain. Son père était plutôt fort dans son genre. « Si tu comptes te barrer mon fils » Monsieur Delaunay avait lâché un petit rire sarcastique. Les poings à nouveau serrés, les ongles qui rentraient dans sa peau, Mathieu avait poussé son père de l'autre main, le faisant tomber à la renverse. Il avait affiché un petit air de pitié et s'était penché sur lui. « si tu crois que c'est toi qui va me faire rester. » Il affichait désormais un air dégoûté. « La seule personne qui en aurait été capable était Sophie et vous m'avez éloignée d'elle dès que vous avez senti le danger d'un mariage sale. » Et puis il s'était en allé, les mains dans les poches, sans se retourner.

Mathieu avait prit une longue inspiration, faisant rentrer l'air pollué dans ses poumons. Des immeubles, toujours des immeubles et encore des immeubles. Tout changeait des maisons de la vieille France et il adorait ça. C'était mieux que dans son rêve le plus fou. C'était mieux que tout ce qu'il avait pu imaginer quand il était le petit du fond de la classe. C'était mieux que tout ce qu'il avait pu rêver quand il fumait des joints. C'était mieux que toutes les photos du monde. C'était plus jouissif que de voir ses parents complètement détruit. C'était sa vie. Sa vie à lui et il était prêt à en faire n'importe quoi, parce que désormais rien, ni personne ne pourrait le lui empêcher. Il adorait ça. Un frisson l'avait parcouru et au pied de son immeuble, un léger sourire avait déformé son visage. Il était prêt à emménager dans cet appartement avec cette rousse indéniablement bizarre, prêt à rencontrer des millions de filles et a leur faire l'amour à la française en parlant avec le french accent. Oui, il était prêt.

in real life:

MON COLOC SUPERSEXY

Ma colooooc j'voulais poster sur ta fiche mais tu m'as devancée

rien ne t'empêche d'aller y faire un tour
dis, ça te dis d'habiter au second étage ?

LEA

n'oublie pas que toi et moi il faut qu'on élabore un lien bed

Pfffft Julian héhé

BIENVENUE et bon courage pour ta fiche

si t'insistes le deuxième ? c'est parfait
Pauline clair qui nous faut un lien, j'te mpotte
tsss, chico
merci Sony (j'aime ton prénom )

oh oui mpotte moi mdr

garde moi un lien doo

Invité

Bienvenue toi

je savais que tu rêvais de recevoir un mp de .. moi
Luffy, t'aurais même pas du le dire, c'est une évidence chico, schratter, la base
priiiiiiim ton avatar est orgasmique et tu me réserves un lien hein

Bienvenue
Je t'aurais bien réservé ton avatar mais je ne sais pas qui c'est.

Invité

Mathieu Delaunay-Bowen a écrit:: je savais que tu rêvais de recevoir un mp de .. moi
Luffy, t'aurais même pas du le dire, c'est une évidence chico, schratter, la base
priiiiiiim ton avatar est orgasmique et tu me réserves un lien hein

On se mpotte ?

Le fameux colloc de ma rousse.
Mwahahah

Bienvenue, je sens que je vais adorer être ta voisine de pallier ange

merci Jules mon avatar c'est julian schratter
avec plaisir Prim !
je crois que je vais carrément a-d-o-r-e-r t'avoir à mes côtés toute la journée

Mathieu Delaunay-Bowen a écrit:: Luffy, t'aurais même pas du le dire, c'est une évidence chico, schratter, la base

Tu m'envoies ravie mon 'tit poulet héhé

>

/okayjemecalme ange

Alors si mon plaisir est partagé je n'ai plus qu'à m'inviter quelques fois chez Siloé et toi pour une partie de scrabble. hysté

Je te le réserve du coup

on calme ses ardeurs mon chou pas devant tout le monde voyons
twiggy, une partie de scrable ? si on joue avec mes règles, ça devrait pouvoir se faire
merci Jules

Faudra que tu m'expliques en détails avec des exemples tes règles

t'inquiètes pas, elles sont plutôt simples mes règles, tu devrais vite les assimiler

Bienvenue et bonne chance pour cette fiche !

j'aurais dû deviner que c'était toi rien qu'au titre devine c'est qui

Invité

Bienvenue.

» on ne facture pas la topissitude et la séductivité. ;; romy&mathieu
» ROUSSEAU → J'ai rêvé qu'on faisait l'amour sur un nuage.